CEUXPAR QUI LE SCANDALE ARRIVE. « Malheur Ă  la nation oĂč existent mille croyances mais aucune religion. () Malheur Ă  la nation divisĂ©e, dont chaque partie revendique pour elle-mĂȘme le nom de nation. Editer l'article Suivre ce blog Administration Connexion + CrĂ©er mon blog. Corse Images et Histoire Accueil; CatĂ©gories. HISTOIRE DE LA (914) 27 Épisode 7 : Malheur Ă  celui par qui le scandale arrive. 2.8 Épisode 8 : La fin justifie les moyens. 3 Notes et rĂ©fĂ©rences. 4 Voir aussi. Afficher / masquer la sous-section Voir aussi 4.1 Articles connexes. 1 langue. Italiano; Modifier les liens. Basculer la table des matiĂšres Saison 1 de Candice Renoir. Article; Discussion; français. Lire; Modifier; Modifier le code; Voir l Matthieu18.5-9 : Et quiconque reçoit en mon nom un petit enfant comme celui-ci, me reçoit moi-mĂȘme. Mais, si quelqu'un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu'on suspendĂźt Ă  son cou une meule de moulin, et qu'on le jetĂąt au fond de la mer. Malheur au monde Ă  cause des scandales ! Car il est nĂ©cessaire qu'il arrive des Weve found 782 phrases and idioms matching malheur Ă  celui par qui le scandale arrive. Sort:Relevancy A - Z. voilĂ  qui est parler: Se dit lorsque quelqu’un fait des propositions plus avantageuses qu’on ne s’y attendait. Rate it: (5.00 / 1 vote) Ă  qui tu le dis: S’emploie quand une personne a entendu une phrase qu’elle Ă©tait mieux placĂ©e pour dire elle-mĂȘme. Rate it: (4.00 / Pascelui de la masse, de la foule de ses cris. Rappelons-nous ces mots qui restent de bon sens, Malheur Ă  celui par qui le scandale arrive. Laissons agir les juges en toute indĂ©pendance, Sans intervention, manipulation, dĂ©rive. Malheur Ă  tous ceux qui s’érigent en justiciers, Ils auront Ă  rĂ©pondre de leurs ignominies. Malheur Ă  celui par qui le scandale arrive.» La Bible . Article prĂ©cĂ©dent Article suivant. 28 janvier 2022. Parole de Sagesse «Dieu a fait l'homme droit, mais l'homme cherche beaucoup de dĂ©tours.» La Bible. ActualitĂ©. Jalons annuels d’une vie associative riche et dense Associations familiales Amis du protestantisme et Association Familiale font le bilan d’une wviaRdX. La comparaison de la mobilisation des Gilets jaunes avec Mai 68 peut dĂ©router, voire choquer. De prime abord, tout semble opposer ces deux Ă©vĂ©nements, Ă  commencer par leur contenu idĂ©ologique ou revendicatif. Mais c’est ĂȘtre prisonnier d’un double contresens, me semble-t-il, que de s’arrĂȘter Ă  cette part, le recul historique nous fait oublier la confusion et l’hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© des acteurs et des aspirations qui caractĂ©risĂšrent le sĂ©isme de 1968. Loin d’ĂȘtre un sympathique monĂŽme d’étudiants libertaires, le mouvement s’empara de l’ensemble du corps social et comporta sa part d’ombre, y compris de violences et de dĂ©prĂ©dations dont la police n’eut pas le monopole. Il suffit par ailleurs d’avoir assistĂ© Ă  une AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale » dans une universitĂ© pour savoir qu’il ne fut pas particuliĂšrement dĂ©mocratique. De ce point de vue, l’activisme des Gilets jaunes n’a guĂšre de complexe dĂ©mocratique Ă  avoir par rapport Ă  celui des gauchistes ou au centralisme dĂ©mocratique » de la CGT, qui sacrifia les Ă©tudiants sur l’autel des accords de Grenelle.D’autre part, la diffĂ©rence du contexte historique et Ă©conomique entre les deux Ă©poques explique celle de l’orientation de chacun des mouvements de contestation. En 1968, la France Ă©tait en pleines Trente Glorieuses et venait de se libĂ©rer de l’hypothĂšque de la guerre – celle de la Seconde Guerre mondiale, de la guerre d’Indochine, de la guerre d’AlgĂ©rie –, moment propice Ă  l’éclosion de nouvelles mƓurs et de nouvelles libertĂ©s. Aujourd’hui, la France ne parvient pas Ă  sortir des Cinquante Maudites qui ont vu s’installer le chĂŽmage de masse et de longue durĂ©e, le creusement des inĂ©galitĂ©s, la gĂ©nĂ©ralisation de la prĂ©caritĂ©, l’évanouissement de toute perspective d’un avenir meilleur sinon pour soi, du moins pour ses enfants. Un nombre croissant de Français ont le sentiment d’ĂȘtre piĂ©gĂ©s, d’ĂȘtre faits comme des rats, et ils agissent comme des rats ils le reste, les affinitĂ©s entre Mai 68 et les Gilets jaunes sont assez frappantes. Dans les deux cas, nul n’a vu venir le mouvement qui est parti de l’anonymat de la sociĂ©tĂ©, a empruntĂ© des formes et un style de mobilisation extraordinairement efficaces et crĂ©atifs, a dĂ©passĂ© les clivages de classe ou de statut, et a contournĂ© les corps intermĂ©diaires. Sur ce plan, l’invention du symbole de ralliement du gilet jaune et le choix des ronds-points comme lieux d’action sont d’une remarquable intelligence politique et populaire, une association dont on devrait se rĂ©jouir au lieu de se pincer le nez parce que le peuple » n’est ni convenable ni aimable – aimables, convenables, les paysans des jacqueries, les sans-culottes de la RĂ©volution de 1789, les Communards de 1871 ne l’étaient y a d’ailleurs une forme de schizophrĂ©nie dans le discours politique français qui glorifie la prise sanglante d’un monument public comme acte fondateur de la libertĂ© – plutĂŽt, par exemple, que la Nuit du 4 aoĂ»t – et se rĂ©fĂšre volontiers Ă  des hĂ©ros dont la pique et la guillotine furent les instruments de prĂ©dilection, mais prend des airs de vierge effarouchĂ©e quand la foule contemporaine casse et brĂ»le – Ă  moins qu’il ne s’agisse de paysans ou de pĂȘcheurs auxquels a toujours Ă©tĂ© reconnu, sous la CinquiĂšme RĂ©publique, un quota de prĂ©fectures Ă  assaillir. Tout comme celui de ses prĂ©dĂ©cesseurs, le roman national d’Emmanuel Macron a Ă©tĂ© trĂšs sĂ©lectif. Et la nostalgie sourde de la monarchie, qu’il assurait percevoir et dont il entendait nous guĂ©rir en en restaurant le rĂ©pertoire symbolique, trouve bien son origine dans le meurtre du roi, dont il est un peu facile de dire que nous le regrettons et de vouloir nous en consoler. Nous y voilĂ , toutes proportions gardĂ©es, bien sĂ»r, car aucun des Gilets jaunes enclins Ă  demander la mort du prĂ©sident de la RĂ©publique, ces derniĂšres heures, ne songe Ă  dresser une guillotine au milieu d’un rond-point, sinon sur un mode symbolique, Ă  l’instar des manifestants du carrefour de Lachamp sur la Nationale 88, dans la pĂ©riphĂ©rie du vrai problĂšme n’est donc pas de savoir si le mouvement des Gilets jaunes est d’extrĂȘme-droite ou d’extrĂȘme-gauche. Pour autant qu’on le sache, il recrute dans chacune de ces deux mouvances, et sans doute aussi dans le Marais des partis de gouvernement en mĂȘme temps que dans la bouderie des abstentionnistes. Que Marine Le Pen ou Jean-Luc MĂ©lenchon s’efforcent de le rĂ©cupĂ©rer est de bonne guerre, au regard de leurs thĂ©matiques de campagne respectives, mais cela ne nous dit rien de l’orientation prĂ©sente ou future des Gilets jaunes eux-mĂȘmes. Le plus probable est que ceux-ci n’en savent pas grand-chose pour leur part, notamment parce que nombre d’entre eux ont dĂ©sertĂ© les urnes depuis longtemps et se sont dĂ©sintĂ©ressĂ©s de la politique, laquelle les a nĂ©anmoins rattrapĂ©s, conformĂ©ment Ă  l’adage. En attendant, l’incendie de la prĂ©fecture du Puy-en-Velay est un beau pied-de-nez Ă  Laurent Wauquiez, et Ă  son flirt indĂ©cent avec le casting de Gilets jaunes qu’il s’était choisi, dans son fief, pour essayer de tirer Ă  lui la couverture de la fluorescence. A bon entendeur, salut
De mĂȘme, il me semble erronĂ© de ne voir dans les Gilets jaunes que des accros du diesel, des beaufs en quatre-quatre ou en quad qui nient l’évidence du rĂ©chauffement climatique. Si j’en juge par l’un des dĂ©partements que je connais le mieux, l’ArdĂšche, se retrouvent sur les ronds-points, selon toute vraisemblance, des chasseurs et des Ă©colos qui se rendent certainement mieux compte et les uns et les autres, en dĂ©pit de leur fĂ©roce antagonisme idĂ©ologique et existentiel, de la rĂ©alitĂ© de la dĂ©gradation de l’environnement que la plupart des citadins acquis Ă  la cause verte. Il y a quelques annĂ©es, ce dĂ©partement s’est dressĂ© contre le gaz de schiste avec une vigueur qui a fait reculer le gouvernement, et dont on voit encore les traces sur les plages arriĂšre des voitures et dans les villages. Il serait trĂšs Ă©tonnant que les Gilets jaunes ardĂ©chois d’aujourd’hui soient Ă©trangers Ă  cette mobilisation d’hier, dont l’inventivitĂ© des slogans m’avait dĂ©jĂ  impressionnĂ©. Simplement, ils ne veulent pas ĂȘtre les seuls Ă  payer la facture, ils ne le peuvent mĂȘme pas, et ils ont fort bien compris que l’argument Ă©cologique est le moyen de faire passer la pilule de la pression fiscale que l’on Ă©pargne aux plus grands pollueurs, par exemple aux compagnies pĂ©troliĂšres ou aĂ©ronautiques et aux opĂ©rateurs du tourisme de masse, ainsi qu’aux premiers de cordĂ©e ».Les taxes sur les carburants ne sont d’ailleurs pas les seules en cause. La tarification dite incitative » de la collecte des ordures, qui se gĂ©nĂ©ralise dans les campagnes, est un autre motif d’exaspĂ©ration, dans la mesure oĂč elle augmente souvent la taxe sur les ordures mĂ©nagĂšres dont s’acquittent les mĂ©nages tout en diminuant le nombre des ramassages et en compliquant la vie quotidienne. D’ores et dĂ©jĂ , des mouvements de rejet s’organisent, comme dans le Loiret, et les dĂ©pĂŽts sauvages se multiplient [1]. Qu’Emmanuel Macron n’en impute pas la responsabilitĂ© Ă  l’incivilitĂ© lĂ©gendaire des Gaulois rĂ©fractaires » ! Les trĂšs disciplinĂ©s Suisses alĂ©maniques font de mĂȘme depuis plusieurs annĂ©es, parfois en franchissant la frontiĂšre française avec leurs dĂ©chets. De quoi les Gilets jaunes sont-ils alors le nom ? De la subalternitĂ©, celle dont parlait Gramsci, avant que les intellectuels organiques » n’en articulent politiquement la colĂšre. Ils demandent d’abord la dignitĂ©. Celle dont les privent sournoisement, aux yeux de leur famille, notamment de leurs enfants, et de leur voisinage, la perte de leur pouvoir d’achat ou leur prĂ©caritĂ© ou leur chĂŽmage. Celle que bafoue jour aprĂšs jour la simplification administrative » qui les laisse dĂ©munis face Ă  leur ordinateur dans un monde bureaucratique dĂ©matĂ©rialisĂ©, mais de plus en plus tentaculaire, et prompt Ă  leur faire payer un nombre croissant de prestations obligatoires ou indispensables jadis gratuites, Ă  se montrer plus impitoyable que jamais dans le prĂ©lĂšvement de contributions lĂ©gitimes et nĂ©anmoins opaques Ă  force de technicitĂ©, Ă  exiger des formalitĂ©s sans fin et toujours plus dignitĂ©, aussi, que foulent aux pieds la SĂ©curitĂ© routiĂšre multipliant les obligations onĂ©reuses – le ContrĂŽle technique toujours plus draconien et coĂ»teux, les amendes de plus en plus Ă©levĂ©es, les stages de rattrapage de points du permis de conduire, et la dĂ©tention d’un gilet jaune par passager dans l’habitacle –, l’automaticitĂ© des contrĂŽles radar que l’abaissement de la vitesse Ă  80 km/heure rend plus voraces, la mise hors la loi de conducteurs privĂ©s de permis, et donc d’assurance, sans qu’ils puissent se priver de rouler sauf Ă  perdre leur emploi et toute vie sociale – en bref, ce qui est perçu comme un harcĂšlement dĂ©shumanisĂ©, voire un surcroĂźt de rĂ©pression policiĂšre, alors mĂȘme que le rĂ©seau routier n’a cessĂ© de se dĂ©grader, une rĂ©pression dont les ronds-points sont les hauts lieux, avec leurs contrĂŽles dignitĂ© de leur travail, que ruine au jour le jour la bureaucratisation nĂ©olibĂ©rale » avec son cortĂšge de mini contraintes irritantes comme des piqĂ»res de moustique et son tsunami de normes plus ou moins ubuesques et dignitĂ©, surtout, que mĂ©prise le Souverain quand il parle du pognon de dingue » que coĂ»te leur pauvretĂ©, qui leur enjoint de traverser la rue pour trouver du travail, qui les traite de paresseux irrĂ©formables, qui les infantilise en leur citant Barthes pour railler leur attachement Ă  la voiture. Un collĂšgue marocain, Mohamed Tozy, me disait que le mouvement des Gilets jaunes lui faisait penser Ă  celui qui a saisi le Rif ces derniĂšres annĂ©es
Certes, les Gilets jaunes n’ont qu’à s’en prendre qu’à eux-mĂȘmes. Ils ont dĂ©sertĂ© les urnes, ou ont votĂ© pour des partis de droite et de gauche dont la politique Ă©conomique les a menĂ©s lĂ  oĂč ils se trouvent. Ils ont bĂȘlĂ© avec le troupeau contre les fonctionnaires, et en faveur de la rĂ©duction de la dĂ©pense publique qui a dĂ©truit les services non moins publics, en les condamnant de ce fait Ă  la voiture et aux kilomĂštres. Ils ont stigmatisĂ© le principe de l’impĂŽt sans vouloir voir ce que celui-ci leur rapportait en Ă©quipements, et sans porter leur critique sur l’injustice de sa rĂ©partition. Et, osons le dire, ils ont fait preuve d’une grande bĂȘtise civique en acceptant, depuis les annĂ©es 1980, tous les fondamentaux de la politique nĂ©olibĂ©rale qui les a conduits dans le mur, en s’accommodant d’un rĂ©gime de quotidien unique dans les dĂ©partements, rĂ©tif Ă  tout dĂ©bat contradictoire sur les questions d’intĂ©rĂȘt local ou national, en acceptant de regarder des chaĂźnes tĂ©lĂ©visĂ©es qui sont autant d’insultes Ă  l’information et mĂȘme Ă  la langue française, en se consolant dans les fadaises complotistes des rĂ©seaux sociaux, et en croyant que les grandes surfaces et autres zones commerciales pĂ©riurbaines rasaient gratis alors qu’elles leur tondaient la laine sur le une fois que l’on a Ă©prouvĂ© cette joie mauvaise de voir les Gilets jaunes rattrapĂ©s par leur inconsĂ©quence politique, que fait-on d’eux ? D’abord, mieux vaudrait les Ă©couter, en prĂȘtant l’oreille Ă  ce qui s’échange, se construit, s’imagine sur les ronds-points, entre des gens d’horizons et de convictions si diffĂ©rents, qui ne se parlaient pas, en tout cas pas de politique, il y a trois semaines. Il se forge en ce moment, autour des braseros, une expĂ©rience civique nouvelle, qui peut ĂȘtre riche du meilleur, ou lourde du pourquoi bouder son plaisir stratĂ©gique ? Au contraire des cheminots, les Gilets jaunes sont parvenus Ă  mettre en Ă©chec et mat Emmanuel Macron, et Ă  dĂ©voiler sa supercherie. Car celui-ci, derriĂšre son discours pentecĂŽtiste sur les temps nouveaux, est bel et bien de l’ancien monde. Comme inspecteur des Finances, comme banquier, comme conseiller puis comme ministre de François Hollande, le prĂ©sident de la RĂ©publique a cautionnĂ© et inspirĂ© le nĂ©olibĂ©ralisme, pis encore il en est le rejeton, incapable de penser autrement que dans la grammaire de Ronald Reagan et de Margaret 2017, sa prĂ©tention millĂ©nariste Ă©tait aussi crĂ©dible que la dĂ©nonciation de la fracture sociale » dans la bouche de Jacques Chirac, ou la volontĂ© de rupture » dans celle de Nicolas Sarkozy. Aujourd’hui, le roi est nu, tout comme le fut Jacques Chirac au lendemain des grandes grĂšves de 1995. Sa propension Ă  passer en force est disqualifiĂ©e. Il se voit contraint d’appeler au secours ces fameux corps intermĂ©diaires qu’il a vilipendĂ©s, contournĂ©s, Ă©vidĂ©s. Il se raccroche Ă  la planche des territoires qu’il a rendus exsangues. En son Palais du Luxembourg, Raminagrobis se pourlĂšche les babines, l’admoneste. Et les constitutionnalistes peuvent ranger leurs dossiers, ou en ouvrir d’autres. La crise actuelle est la faillite de la conception personnelle qu’Emmanuel Macron se fait du faillite qu’avait dĂ©jĂ  amorcĂ©e l’affaire Benalla, laquelle Ă©tait loin d’ĂȘtre anecdotique, comme d’aucuns avaient voulu le croire, mais rĂ©vĂ©latrice d’une pratique a-institutionnelle, et somme toute assez puĂ©rile, de l’exercice de la magistrature suprĂȘme, par favoris interposĂ©s, comme dans l’Ancien RĂ©gime, avant mĂȘme l’ancien monde. Qu’ils viennent me chercher ! », avait-il lancĂ©, bravache, Ă  ceux qui lui demandaient des comptes. PrĂ©sident, nous voilĂ  ! », rĂ©pondent les Gilets jaunes. Et ils rendent difficile la poursuite de l’entreprise de dĂ©molition nĂ©olibĂ©rale du modĂšle social français que ses prĂ©dĂ©cesseurs avaient entamĂ©e et qu’il entendait accĂ©lĂ©rer en les accusant de pusillanimitĂ©. Plus fondamentalement, le mouvement des Gilets jaunes dissipe l’ illusion identitaire », qui prĂ©vaut depuis les annĂ©es 1980, pour remettre au centre du jeu la question sociale. A quelques incidents prĂšs, infinitĂ©simaux Ă  l’échelle de la mobilisation, et jusqu’à ces derniers jours, il n’a pas parlĂ© d’immigration, dont nul n’a songĂ© Ă  rendre responsable l’augmentation du diesel, mais d’inĂ©galitĂ©. Et sa protestation n’est pas climato-sceptique, comme peut l’ĂȘtre l’électorat de Donald Trump, mais s’en prend Ă  la rĂ©partition inique de la charge fiscale que nĂ©cessite une transition Ă©nergĂ©tique dont nul ne conteste le principe. Son discours est un gigantesque fourre-tout, un grand n’importe quoi. NĂ©anmoins, pour la premiĂšre fois depuis bien longtemps, le pays, ou une part apprĂ©ciable de celui-ci, se lĂšve pour crier Tais-toi, bouffon ! ».Reste Ă  prĂ©ciser de quoi est fait le Bouffon. Le langage polyphonique des Gilets jaunes n’en est pour l’instant pas capable. Mais leur colĂšre Ă©tait palpable depuis plusieurs mois, qu’avait cristallisĂ©e la limitation de vitesse Ă  80 km/h, jugĂ©e technocratique et irrĂ©aliste – la bagnole, dĂ©jĂ . Les prĂ©fets en informaient le gouvernement, Emmanuel Macron en avait lui-mĂȘme pris la mesure lors de son itinĂ©rance mĂ©morielle dans le nord-est de la France au mois de novembre. Peine perdue, tant le prince est enfermĂ© dans le chĂąteau de ses certitudes idĂ©ologiques la France se languirait de son incapacitĂ© Ă  se rĂ©former », c’est-Ă -dire Ă  se soumettre Ă  la rationalitĂ© financiĂšre, plutĂŽt qu’économique, et au rĂ©gime normatif du nĂ©olibĂ©ralisme. A l’instar des mĂ©decins de MoliĂšre, Emmanuel Macron ne voit de salut que dans les mĂ©pris s’ajoutent ici l’arrogance et l’égarement. MĂȘme si les Gilets jaunes n’ont pas les mots pour le dire, ils constatent pour leur part que la politique menĂ©e depuis les annĂ©es 1980, et que l’ElysĂ©e entend intensifier, s’est soldĂ©e par l’enkystement du chĂŽmage, le durcissement des conditions de travail et d’étude, la dĂ©qualification ou la disqualification des mĂ©tiers, l’aggravation des inĂ©galitĂ©s, la dĂ©stabilisation des grands services publics tels que la SNCF, le rĂ©seau routier, la SĂ©curitĂ© sociale, l’hĂŽpital, La Poste, l’UniversitĂ©. Loin de s’ĂȘtre Ă©clairci, l’horizon n’a cessĂ© de s’assombrir. Dans le mĂȘme temps, ces services, de moins en bien assurĂ©s, et qui, dans l’imaginaire français, sont bien plus que de simples entreprises, mais de vĂ©ritables repĂšres nationaux, sont devenus beaucoup plus coĂ»teux pour leurs Ă  ces Ă©checs, les tenants de l’Etat, qui en sont directement responsables, n’ont d’autres solutions que la fuite en avant, quitte Ă  brĂ»ler les dieux qu’ils adoraient hier et dont ils ont imposĂ© le culte les privatisations, les partenariats public-privĂ©, la tarification Ă  l’acte Ă  l’hĂŽpital, le recours systĂ©matique Ă  la sous-traitance, le dĂ©mantĂšlement des protections sociales des travailleurs, la prĂ©carisation de l’emploi, l’ubĂ©risation de la sociĂ©tĂ©, la dĂ©matĂ©rialisation systĂ©matique de ses relations avec l’administration. Quelle peut ĂȘtre la crĂ©dibilitĂ© des gouvernants, dĂ©sespĂ©rĂ©ment anciens ou prĂ©tendument nouveaux, aux yeux d’une opinion qui souffre directement des consĂ©quences dĂ©lĂ©tĂšres de cette Ă©volution, lorsque ceux-lĂ  mĂȘmes qui ont mis en Ɠuvre de telles politiques doivent concĂ©der que cela ne marche pas », mais soutiennent mordicus qu’il suffit de faire pire ? De ce point de vue, la privatisation calamiteuse des autoroutes, qui a privĂ© l’Etat de revenus rĂ©guliers, abouti Ă  de nombreux licenciements, renchĂ©ri la circulation et dĂ©laissĂ© l’entretien du rĂ©seau, a Ă©tĂ© une cuisante leçon, et une illustration accablante des courtes vues, de l’irresponsabilitĂ©, de l’incompĂ©tence, voire de la compromission avec certains intĂ©rĂȘts privĂ©s, du systĂšme de dĂ©cision qui prĂ©vaut depuis plusieurs tous ces plans, l’échec d’Emmanuel Macron Ă©tait prĂ©visible, mĂȘme si le dĂ©gagisme » français, tout comme le dĂ©gagisme » tunisien, est survenu selon des modalitĂ©s et un tempo imprĂ©vus. Contrairement au gĂ©nĂ©ral de Gaulle qui avait pu, en 1958, dans le contexte dramatique d’une crise institutionnelle, de la dĂ©colonisation et de la construction du MarchĂ© commun, rĂ©former » la France par ordonnances grĂące Ă  son prestige et Ă  un trĂšs large soutien de l’opinion, le prĂ©sident de la RĂ©publique n’a jamais eu de majoritĂ© dans le pays pour passer en force. Son narcissisme l’a aveuglĂ© et empĂȘchĂ© de comprendre qu’il n’avait pas les moyens de son hybris. Je me permets ici de renvoyer au papier que j’avais postĂ© entre les deux tours de l’élection prĂ©sidentielle, et qui exprimait quelque doute sur la viabilitĂ© de son mandat. Aujourd’hui, l’heure est celle de tous les dangers, et pourrait donner raison Ă  ceux qui pronostiquaient de graves dĂ©sordres en cas d’élection d’Emmanuel Macron. Non seulement la classe politique, mais encore les mĂ©dias et les intellectuels ne sont plus Ă©coutĂ©s dans le pays, ce qui rend difficile la mise en forme de la colĂšre ou de la haine sociale. Une division sommaire entre les rĂ©gions et Paris s’instaure, alors mĂȘme que les Parisiens souffrent eux aussi de cette mĂȘme arrogance de la classe politique, de l’autisme de leurs Ă©diles, du dĂ©sastre nĂ©olibĂ©ral du tourisme de masse et de la crise du logement et des services publics qui s’ensuit. Les corps intermĂ©diaires ont Ă©tĂ© dĂ©libĂ©rĂ©ment affaiblis, et les candidats aux Ă©lections municipales se rarĂ©fient de maniĂšre prĂ©occupante. Le systĂšme dĂ©mocratique est menacĂ© de collapsus. Le risque est rĂ©el de voir l’extrĂȘme-droite rafler la mise, dans un contexte europĂ©en qui booste les identitaristes, Ă  quelques mois d’une consultation pour laquelle le Rassemblement national Ă©tait dĂ©jĂ  au coude Ă  coude avec la RĂ©publique en marche, avant mĂȘme les Ă©vĂ©nements de ces quinze derniers jours. Il est non moins grand de voir surgir un nouveau mouvement politique du type de Cinq Etoiles en Italie, dont un Eric Zemmour, ou son clone, pourrait prendre la tĂȘte. La rĂ©ponse de l’Etat, pathĂ©tique dans son technocratisme – une prime par ici, une suppression de taxe par lĂ  – est inaudible, incomprĂ©hensible, et elle rend malheureusement probable l’affaissement d’un rĂ©gime qui n’est plus reprĂ©sentatif de bref, le pays est sans boussole. Il revient aux intellectuels, aussi frappĂ©s de discrĂ©dit soient-ils du fait du poujadisme ambiant, de proposer une direction. Quelques repĂšres s’offrent pour une remise Ă  plat radicale du dĂ©bat et de l’action publics, qui est nĂ©cessaire Ă  la reprise de l’inĂ©vitable dialogue entre les autoritĂ©s et les Gilets jaunes. Ce qui suppose un choc sĂ©mantique, tant la novlangue technocratique est devenue un rĂ©pulsif pour l’opinion, et un raccourci vers l’essentiel, l’immĂ©diatement intelligible, la reconstitution de la proximitĂ© rĂ©publicaine l’instauration d’une vraie dĂ©mocratie locale, bien au-delĂ  de la dĂ©centralisation qui reprend d’une main ce qu’elle a fait semblant de concĂ©der de l’autre, une dĂ©mocratie locale qui renouerait avec les institutions historiques fondamentales du territoire – le dĂ©partement, la commune, la rĂ©gion –, donnerait Ă  celles-ci les moyens fiscaux de leur politique, et reposerait sur la pratique du rĂ©fĂ©rendum, de la votation comme on dit en Suisse, pour les dĂ©cisions qui concernent directement leur pĂ©rimĂštre, y compris les choix d’une Ă©ventuelle intercommunalitĂ© ou mĂ©tropolisation que le gouvernement doit cesser de faire passer au forceps. La capitale doit elle-mĂȘme bĂ©nĂ©ficier de ce mouvement. Est-il par exemple normal que les Parisiens n’aient jamais Ă©tĂ© consultĂ©s sur l’organisation, dans leur ville, des Jeux olympiques qui vont se solder par une explosion de leurs impĂŽts locaux, une flambĂ©e des prix et des loyers, un surcroĂźt de pollution, sinon par le biais d’élections prĂ©tendument municipales, mais qui Ă©taient en rĂ©alitĂ© prĂ©emptĂ©es par les partis nationaux. La dĂ©connexion entre les mandats locaux et les mandats nationaux doit d’ailleurs ĂȘtre consommĂ©e. A l’argument des dĂ©putĂ©s qui seraient dĂ©connectĂ©s des rĂ©alitĂ©s s’ils Ă©taient privĂ©s de mandats municipaux doit se substituer celui de la primautĂ© des responsabilitĂ©s locales sur les considĂ©rations nationales, dans la mesure oĂč les villes sont devenues des actrices majeures, dans les deux sens du terme, et y compris dans les stratĂ©gies environnementales. Barcelone doit servir d’exemple, qui a Ă©lu une mairesse indĂ©pendante sur la base d’un programme citoyen de remise en cause de la marchandisation de la ville et du dĂ©veloppement touristique de masse pour dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts de ses restauration de la lisibilitĂ© de l’impĂŽt qui est devenu illĂ©gitime aux yeux des contribuables du fait de sa technicitĂ© et de l’opacitĂ© qui s’ensuit. Nul n’est plus capable de remplir ses dĂ©clarations fiscales en toute connaissance de cause, sauf Ă  recourir Ă  un conseiller dont la rĂ©munĂ©ration s’apparente Ă  une ponction supplĂ©mentaire. Il arrive mĂȘme que l’application des diffĂ©rents taux de la TVA varie d’un dĂ©partement Ă  l’autre en fonction des diffĂ©rences d’interprĂ©tation de la loi par les services administratifs, qui ne la comprennent pas mieux que les simples dĂ©bureaucratisation radicale de la vie quotidienne et professionnelle, en rĂ©ponse Ă  la bureaucratisation du monde » qui s’est imposĂ©e ces derniĂšres dĂ©cennies et a fait de chacun son propre fonctionnaire, au dĂ©triment de l’exercice de son mĂ©tier et de sa vie personnelle. La restauration des services publics et de leur identification historique – La Poste, la SNCF, etc. – en lieu et place de leur marchandisation sous couvert de marques fallacieuses, du genre et de sous-traitances systĂ©matiques, qui se sont effectuĂ©es au dĂ©triment de l’ rĂ©habilitation de l’enseignement universel comme voie royale de l’ascension sociale et de l’égalitĂ© des chances, et de l’hĂŽpital comme garantie de la sĂ©curitĂ© mĂ©dicale pour tous, y compris dans l’ prioritĂ© donnĂ©e au logement social, pour en finir avec ce scandale absolu des SDF dans une sociĂ©tĂ© qui conjugue l’opulence et la misĂšre la plus telles mesures, dans lesquelles d’aucuns ne verront que des mesurettes triviales, ne rĂšgleraient naturellement pas le fond du problĂšme de la relance de l’économie française et de la transition Ă©nergĂ©tique. Mais elles s’adresseraient au malaise qu’éprouvent les Français toutes catĂ©gories confondues, ou Ă  peu prĂšs, elles introduiraient de vraies ruptures concrĂštes dans leur vie de tous les jours, elles indiqueraient une direction claire et cohĂ©rente, elles reconstitueraient le lien social. Et le fait qu’elles se heurteraient Ă  une fin de non-recevoir de Bercy serait plutĂŽt de nature Ă  les rendre crĂ©dibles et politiquement souhaitables, sans pour autant que l’on sombre dans le grand n’importe quoi financier. Le ministĂšre des Finances n’a pas le monopole de l’intelligence en cette matiĂšre, et ses fonctionnaires doivent cesser d’ĂȘtre Ă  la RĂ©publique ce que les commissaires du peuple Ă©taient Ă  l’ArmĂ©e rouge, leurs pistolets braquĂ©s sur ses tempes. Les rĂ©sultats de ses politiques ne sont pas au demeurant si brillants qu’il puisse continuer Ă  nous l’échelle des gĂ©nĂ©rations vivantes, jamais les Français n’ont autant travaillĂ© sans pour autant avoir le sentiment de vraiment pouvoir exercer leur mĂ©tier, jamais ils n’ont autant Ă©prouvĂ© la crainte que l’avenir de leurs enfants sera sans doute moins bon que leur propre vie, jamais ils n’ont Ă©tĂ© aussi peu entendus des pouvoirs publics, jamais leur Etat n’a Ă©tĂ© aussi intrusif dans leur quotidien, aussi doucereusement autoritaire, et aussi indĂ©chiffrable. Jamais non plus, depuis la Seconde Guerre mondiale, il n’a Ă©tĂ© aussi ce constat amer que chacun peut faire en son for intĂ©rieur, et qui attise la colĂšre dĂ©sordonnĂ©e des Gilets jaunes. De ce point de vue, nous le sommes tous peu ou prou, Gilets jaunes, et il n’y a aucune raison de laisser en dĂ©shĂ©rence cette fureur citoyenne, avec le danger qu’un attrapeur de rats ne nous enlĂšve au son de sa flĂ»te. Il est temps, grand temps, de reprendre notre destin en main et de renouer avec le cours de notre histoire dont nous a Ă©cartĂ©s l’adhĂ©sion puĂ©rile de notre classe politique au nĂ©olibĂ©ralisme anglo-amĂ©ricain, depuis la seconde moitiĂ© des annĂ©es 1980, un nĂ©olibĂ©ralisme qui s’est soldĂ©, dans les deux pays qui l’ont imposĂ© au monde, par le Brexit et l’élection de Donald Trump – bravo les artistes ! En Europe centrale, en Italie, aux Pays-Bas, demain peut-ĂȘtre en Espagne, l’opinion est parvenue Ă  ce mĂȘme diagnostic. Il est de notre responsabilitĂ© d’y apporter une meilleure rĂ©ponse que celle qu’elle s’est donnĂ©e dans ces diffĂ©rents pays et qui les conduit droit dans le Au moment de boucler ce papier nous parviennent les images glaçantes de ces dizaines de lycĂ©ens mis Ă  genou et surveillĂ©s par des policiers Ă  Mantes-la-Jolie. Elle est jolie, la RĂ©publique en Marche
 Une nouvelle page du mouvement s’ouvre sans doute, alors qu’une amie ardĂ©choise me fait part de son dĂ©sarroi devant la violence qui monte, m’écrit-elle, dans le dĂ©partement. BlindĂ©s lĂ©gers dans les rues de Paris, Flash-Ball et grenades GLI-F4 employĂ©s contre des adolescents, mutisme obstinĂ© de Jupiter, fĂ©brilitĂ© de son fusible de Premier ministre l’Insurrection viendrait-elle ?[1] FrĂ©dĂ©ric Potet, Les poubelles de la colĂšre », Le Monde, 2-3 dĂ©cembre 2018. Lyrics convoitĂ© Ça fini par nous obsĂ©dĂ©, nous lĂąche quand on est dĂ©cĂ©dĂ©, On l’aura beau choyĂ©, ça ne va guĂšre nous accompagner RĂ©f. Qui est celui qui dit que le d’elle. La scĂšne s’ouvre sur la conversation entre le pompier appelĂ© par LĂ©one et Madame Schmidt qui vient d’arriver.] Madame Schmidt Elle est allĂ©e sensibles Voyou tu peux sĂ©-dan sur mon son ou celui des dissidents Pas d'ici, enfants du ci-ment Pas besoin de te faire un dessin Par les dĂ©cibels quand j'veux, oĂč j'veux Et j'fais c'que j'aime, c'est avec ça qu'j'ai rĂ©ussi jusqu'Ă  maintenant Celui qui est pas content, c'est pareil C'est les position, j'ai la fenĂȘtre de tir Donne-moi le go, on me mandate et je tue Celui qui fait le plus cramĂ© qu'en dit le plus aux stup' C'est souvent les chemin. Autour de nous, il n’y a plus que des fleurs qui ont cessĂ© d’avoir mal. Froid intense devant l’ñme. Mots par signaux de fumĂ©e dans le silence. nuit du grand magasin. Oui, oui, celui qui a Ă©tĂ© renvoyĂ© aprĂšs que Joseph a passĂ© la nuit parmi les jouets. Faute professionnelle, a dit le Directeur. en l'air Les shmitts arrivent en courant ils crient "mains en l'air" Trop de folles-folles qui donnent des go par tĂ©lĂ©phone Elles font genre c'est enduit cinquante mille Mais c'est plus simple de fixer la peur sur le Covid C'qui nous arrive, c'est pas Ă©tonnant, c'est logique C'est la course Tu veux que je sois joyeux, quand je vois tant de gens vivre dans le malheur ? La vie est un joyau mais fĂ»t taillĂ© par des ferrailleurs De mes prĂ©fĂšre, Que celui du tien qui sera le frĂšre, Que celui du tien qui sera le frĂšre, Les deux lames sont d’égale longueur, Comme deux Ăąmes sont des Ăąmes sƓurs, España, viva viva moi! Juan — Commodore, les calfateurs sont dĂ©bordĂ©s! Oh quel malheur! nous sommes entraĂźnĂ©s par le fond. MalĂ©diction, c'est un typhon! Les gangsters qui restent en vie, respecte les Ceux qui se battent pour survivre, respecte les Pull Untouchable donc je suis toujours frais J'arrive d’or Est celui qui croit plus fort Est celui qui vit encore Mais il arrive -jour gĂ©nĂ©reux!- Que je trouve une pĂ©pite ou deux Fussent-elles dĂ©risoires ne plus ĂȘtre blanchi par mes parents Jusqu'ici je n'ai connu que la vie sous un seul angle J'sais pas ce qui m'rend si mal Peut-ĂȘtre le fait de n'pas dĂ©couvrir mon pĂšre Apparemment j'ai eu le malheur de l'Ă©veiller la nuit derniĂšre En plus il a eu la chance d'entendre les beuglements de ma mĂšre Autant dire Les Ă©lections arrivĂ©es, j'ai toujours pas fais mon choix Par qui je m'sens reprĂ©senter pas par un seul de ces mecs lĂ  Donc oĂč est la nĂ©cessitĂ© d'aller ca et ci et jai fini par dire quelle menvie aussi Qui aurai pu l`dire que les go que j`kiff essai aussi de me detruire Jy arrive, les impressioné Y'a que le matelas de la taule Pour amortir ta chute qui Ă©crase les tiens par ta faute L'argent te donne du pouvoir Tout en t'affaiblissant T'as model ou d'la porno star? Mais t'es encore dehors dans la file d'attente Ă  piĂ©tiner dans le froid ou sous la pluie battante Moi j'arrive avec trentes histoire racontĂ©e par un idiot, pleine de bruit et de fureur, qui ne signifie rien. Shakespeare, Macbeth Voix de femme 7, français Le 28 mai 1938, Bruno Par qui je m'sens reprĂ©sentĂ© pas par un seul de ces mecs lĂ  Donc oĂč est la nĂ©cessitĂ© d'aller leur donner des voix T'empĂȘches le FN de monter, moi m'attend comme l'arrivĂ©e d'trois kilos d'c', hein Pendant qu'toi, tu parles d'celui qui l'a fait Moi, j'monte un plan pour dev'nir celui qui le fait Bref, bien sĂ»r, c'est tendu Tu te sens comme pendu par le cordon ombilical Dur d'ĂȘtre Ă  fond et d'ĂȘtre motivĂ© si l'bonheur d'un Fait le malheur de quinze, We need you! Help build the largest human-edited lyrics collection on the web! Quand un dĂ©sastre hors du commun fait la une de l’actualitĂ©, on dĂ©couvre souvent aprĂšs coup - trop tard - qu’un individu l’a en grande partie orchestrĂ©, concentrant entre ses mains un pouvoir exorbitant, exploitant soigneusement toutes les failles d’un systĂšme, abusant de la confiance de son entourage. Il est celui par qui le malheur arrive. Le fiasco humanitaire de l’Arche de ZoĂ©, pilotĂ© par Eric Breteau, illustre bien ce phĂ©nomĂšne. Mais souvenez-vous du dĂ©sastre judiciaire d’Outreau et du rĂŽle jouĂ© par le jeune juge d’instruction, Fabrice Burgaud. Souvenez-vous du naufrage de Vivendi Universal et de son capitaine Messier, en 2002. On retrouve Ă  chaque fois, chez celui par qui le malheur arrive une accumulation inquiĂ©tante de traits de personnalitĂ© psychopathiques. Voici ce qu’on peut lire dans la presse Ă  propos d’Eric Breteau AndrĂ© Nicollo ... se souvient aussi de son appĂ©tit de pouvoir, de son obstination implacable et de son talent pour Ă©carter les rivaux "On s’est vite aperçus que ce serait un chef de droit divin. ... Quelques familles sont effrayĂ©es par l’esprit dominateur et le goĂ»t du secret d’Eric Breteau, mais la plupart sont sĂ©duites par son charisme..." » Le Monde du 21 dĂ©cembre. Il a menti Ă  tout le monde, Ă  l’OMS, Ă  l’Unicef, aux militaires français, Ă  l’UNHCR... Il ne leur disait pas qu’il allait Ă©vacuer les enfants, mais que son association Ă©tait lĂ  pour une mission sanitaire de deux ans. Il n’arrĂȘtait pas de dire "En Afrique, tout s’achĂšte." J’ai vite compris qu’Eric Breteau Ă©tait dangereux. ... Pour moi, Eric est un mĂ©galo qui croit qu’il va sauver la Terre entiĂšre. C’est un inconscient qui a mis en danger nos vies, nos rĂ©putations de mĂ©decins, nos professions. Il nous a mis dos au mur, ainsi que les familles d’accueil. » Le JDD du 4 novembre 2007 Ailleurs, on le dĂ©crit comme charismatique », volontaire », possĂ©dant des dons de communicant, du bagout, un pouvoir de persuasion hors norme, des rĂ©seaux. On a parfois Ă©crit Ă  son propos que c’était un gourou » et un manipulateur ». De fait, il n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  tromper les autoritĂ©s tchadiennes et françaises, Ă  dissimuler ses vĂ©ritables intentions au personnel local. Il a fait de la rĂ©tention d’information tout au long de son expĂ©dition. Son projet Ă©tait grandiose ; il se percevait comme le sauveur. Durant son procĂšs, il a Ă©tonnĂ© par son assurance, son arrogance, son absence de remords, la facilitĂ© avec laquelle il a rejetĂ© la responsabilitĂ© sur ses intermĂ©diaires ou le gouvernement français. Il n’a tenu compte des avis de personne parce qu’il Ă©tait convaincu d’avoir raison. Envers et contre tous. A ses yeux, la fin justifiait les moyens. Fabrice Burgaud aussi, avait raison, envers et contre tous. Il est restĂ© sourd aux avertissements. Il a bricolĂ© son instruction, comme pour se convaincre qu’elle tenait la route. Le jeune juge aux dents longues avait sĂ©duit sa hiĂ©rarchie par sa dĂ©fĂ©rence, son respect, son amabilitĂ©. Il Ă©cƓurait les justiciables par son arrogance, ses propos comminatoires, sa froideur, son absence d’empathie, son manque d’objectivitĂ©. Epris de pouvoir, il a refusĂ© qu’un second juge d’instruction vienne l’épauler. Il a dĂ©cidĂ© du sort des accusĂ©s Ă  la maniĂšre d’un Dieu. Alors qu’il Ă©tait Ă©vident que son instruction le conduisait droit au mur, il n’a pas freinĂ©. Au contraire, il a appuyĂ© sur l’accĂ©lĂ©rateur pour obtenir cette promotion qu’il convoitait tant. Lorsqu’on lui a demandĂ© des comptes, il a jouĂ© Ă  la victime. Jean-Marie Messier a d’abord sĂ©duit par son charisme, son assurance, sa rondeur, son aisance un micro Ă  la main, ses promesses quasi-messianiques, son audace, son entregent. Avant d’inquiĂ©ter par sa mĂ©galomanie, son goĂ»t du pouvoir, ses manipulations, ses mensonges, ses accĂšs de paranoĂŻa, ses promesses non tenues, son incapacitĂ© Ă  prendre la mesure du danger. Les derniĂšres illusions Ă  son sujet se sont envolĂ©es lorsqu’il s’est efforcĂ© d’empocher ce parachute dorĂ© que jamais - avait-il jurĂ© - il ne rĂ©clamerait. Il est impossible de dĂ©terminer Ă  partir de simples tĂ©moignages lus dans la presse si l’on a affaire Ă  ce trouble psychologique qu’est la psychopathie. En revanche, on dĂ©cĂšle nettement chez ces trois individus des tendances, qui ont manifestement jouĂ© un rĂŽle primordial dans l’avĂšnement de la catastrophe finale. On compare parfois les psychopathes Ă  des camions fous, lancĂ©s Ă  toute allure, sans freins. Rien ne peut les arrĂȘter. Rien, sauf un mur. Il est temps d’éduquer notre regard Ă  repĂ©rer ces traits psychologiques qui nous permettront de dĂ©tecter celui par qui le malheur est susceptible d’arriver. Note le Pr Robert Hare, spĂ©cialiste canadien de la psychopathie, recense les caractĂ©ristiques suivantes pour dĂ©finir ce syndrome charisme, bagout, pouvoir de sĂ©duction et de persuasion les psychopathes font souvent d’excellents gourous, narcissisme, arrogance, sentiment grandiose du soi, assurance inĂ©branlable, mĂ©galomanie, personnalitĂ© manipulatrice, agressivitĂ©, dĂ©valorisation des autres, prise de risque insensĂ©e, incapacitĂ© Ă  sentir le danger, refus d’endosser ses responsabilitĂ©s, absence de remords pour les dommages causĂ©s ; appĂ©tit de pouvoir dĂ©mesurĂ©, facilitĂ© Ă  mentir, Ă  dissimuler, Ă  tromper, faiblesse des scrupules moraux, labilitĂ© logique, malhonnĂȘtetĂ© intellectuelle, artificialitĂ© des Ă©motions, absence d’empathie, voire sadisme, indiffĂ©rence pour le sort des autres qui sont perçus comme de simples choses, projection, tendances paranoĂŻaques, etc. Plus on cumule de traits issus de cette liste, plus on possĂšde de tendances psychopathiques. malheur Ă  celui qui sort du rang ! pobre de Ă©l quiĂ©n se salga de la fila! Mais malheur Ă  celui qui, par myopie ou habitude, prĂ©fĂšre une communautĂ© modeste, plutĂŽt que de valoriser [...]les laĂŻcs ! Pero ay de quien, por miopĂ­a o costumbre, prefiere una comunidad modesta, antes que valorizar a los laicos! . Si vous ne le pouvez pas, cela ne fait rien, [...] personne ne doit vous juger; malheur Ă  celui qui juge celui qui ne communie pas, malheur Ă  lui! Si no podĂ©is, no pasa nada, [...] nadie os tiene que juzgar; ÂĄay del que juzga al que no recibe la ComuniĂłn, ay! Malheur Ă  celui qui croit aux promesses en la matiĂšre! La Ășnica conclusiĂłn a la que podemos llegar es que hoy no es un dĂ­a de suerte para aquellos que creen en las [...]promesas realizadas en este tema. Malheur, mille fois malheur, Ă  celui qui romprait des liens [...]qui ne doivent pas ĂȘtre dĂ©liĂ©s par la volontĂ© de celui qui se les est imposĂ©s» [24]. Desdichado, mil veces desdichado quien rompa esos lazos que no deben [...]ser disueltos por la voluntad de quien se los ha impuesto" [24]. 22Si des hommes se battent, et frappent une femme [...] enceinte, et qu'elle en accouche, sans [...] qu'il arrive malheur, celui qui l'aura frappĂ©e [...]sera condamnĂ© Ă  l'amende que le mari [...]de la femme lui imposera; et il la donnera devant des juges. 22Si algunos riñeren, Ă© hiriesen ĂĄ mujer preñada, y Ă©sta [...] abortare, pero sin haber muerte, serĂĄ [...] penado conforme ĂĄ lo que le impusiere el marido [...]de la mujer y juzgaren los ĂĄrbitros. Malheur Ă  celui qui fait boire son prochain, A toi qui verses ton [...]outre et qui l'enivres, Afin de voir sa nuditĂ©! Ay del que da de beber a su prĂłjimo! ÂĄAy de ti, que le acercas [...]tu hiel, y le embriagas para mirar su desnudez! Et Ă  tous ceux qui, par toutes sortes de tentations et d'illusions, cherchent Ă  dĂ©truire votre jeunesse, je ne peux pas ne pas [...] rappeler les paroles du Christ Ă  propos du [...] scandale et de ceux qui le provoquent Malheur Ă  celui par qui ils arrivent! Y a todos aquellos que con tentaciones o ilusiones de signo vario intentan destruir vuestra juventud, no puedo menos de recordar las [...] palabras de Cristo cuando habla del escĂĄndalo [...] y de aquellos que lo provocan Ay de aquĂ©l por quien vengan los escĂĄndalos. Malheur Ă  celui par qui le scandale arrive", car personne ne fait attention aux enfants. ay de quien escandalice a uno de ellos", porque nadie tiene respeto por los niños. 1JĂ©sus dit aussi Ă  ses disciples Il ne peut se faire qu'il [...] n'arrive des scandales; toutefois, malheur Ă  celui par qui ils arrivent. 1Y A SUS discĂ­pulos dice [...] Imposible es que no vengan escĂĄndalos; mas ­ay de aquĂ©l por quien vienen! Mais, maintenant, malheur Ă  celui ou Ă  celle qui ose remettre [...]en cause le nouveau dogme, le binĂŽme mutations alĂ©atoires / sĂ©lection naturelle. Pero ahora, atrevidos son los que ponen en duda el nuevo dogma [...]el binomio mutaciones aleatorias / selecciĂłn natural. L'attention a Ă©tĂ© focalisĂ©e sur les mĂ©canismes financiers, les profits, les bonus, tout sauf les ĂȘtres humains [...] alors que c'est Ă  [...] leur porte que le malheur frappe, surtout Ă  celle des pauvres ou de ceux qui ont pris des prĂȘts [...]qu'ils n'arrivent [...]pas Ă  rembourser et qui finissent par perdre leurs modestes Ă©conomies et leur habitation. La atenciĂłn se centrĂł en los mecanismos financieros, las ganancias, las bonificaciones; en cualquier cosa que no fueran los seres humanos a cuyas puertas fue a parar el desastre en su [...] mayorĂ­a los pobres, [...] gente a la que se le habĂ­an dado prĂ©stamos que difĂ­cilmente podĂ­an pagar y que, como resultado, [...]posteriormente [...]perdiĂł sus escasos ahorros y sus hogares. Souvent on se lamente des difficultĂ©s [...] de l'existence, des [...] malheurs qui nous accablent, mais rarement on reconnaĂźt que le plus grand malheur qui puisse nous arriver c'est celui de ne pas connaĂźtre l'Amour de Dieu. A menudo nos lamentamos de las [...] dificultades de la [...] existencia, de las desgracias que nos oprimen, pero raramente reconocemos que la desgracia mĂĄs grande que pueda acontecernos es la de no conocer el Amor de Dios. Il est donnĂ© une interprĂ©tation [...] prophĂ©tique d'un grand malheur qui s'est dĂ©jĂ  produite [...]au pays d'Edom et une prĂ©diction d'un jugement universel. Se le da una interpretaciĂłn [...] profĂ©tica de una gran calamidad que ya ha ocurrido [...]en Edom, y una predicciĂłn de un juicio universal. Lorsqu'une [...] jeune fille de 14 ans qui est une bonne Ă©lĂšve abandonne l'Ă©cole parce qu'elle est enceinte, cela peut ĂȘtre un malheur personnel pour cette [...]jeune fille et sa famille. Cuando una niña de [...] 14 años de edad, que es buena estudiante se retira de la escuela porque estĂĄ embarazada, puede ser una desgracia personal para la niña [...]y para su familia. Il y a en revanche un mĂ©rite incontestable Ă  [...] dĂ©passer son propre malheur, ou celui de ses proches,pour [...]s'ouvrir au malheur des autres,Ă  [...]ne pas rĂ©clamer pour soi le statut exclusif de l'ancienne victime. Hay en cambio un mĂ©rito [...] indiscutible en pasar de la propia desgracia, o de la de sus [...]allegados, a la desgracia de los demĂĄs, [...]en no reclamar para sĂ­ el estatuto exclusivo de antigua vĂ­ctima. celui qui a causĂ© le malheur du MaĂźtre ! el que hundiĂł al maestro! La sĂ©curitĂ© et le bien-ĂȘtre de l'humanitĂ© ne peuvent ĂȘtre fondĂ©s [...] que sur une fraternitĂ© radicale, sur le [...] concours de tous ceux qui ressentent dans leur chair le malheur de leur prochain. La seguridad y el bienestar de la humanidad [...] sĂłlo pueden basarse en esa radical fraternidad, [...] en el concurso de cuantos sienten en carne propia la desdicha del prĂłjimo. C'est alors qu'un rayon de soleil toucha la porte d'or qui s'ouvrit et la Princesse lança un cri de suffocation haut, impressionnant dans ses vĂȘtements royaux [...] Antelao apparut. "Raj-de-Sol - dit-il d'une [...] voix atone - malheur Ă  toi qui n'as respectĂ© ni mes ordres ni ceux de la montagne et malheur Ă  toi, Zaniel, qui as osĂ© regarder [...]et tomber amoureux de ma fille " Un grand [...]fracas couvrit ses derniers mots et les supplications de Zaniel qui demandait Ă  entrer dans le chĂąteau les portes se refermĂšrent. En aquel momento, un rayo de sol golpeĂł la puerta de oro Se abriĂł y la princesa emitiĂł un grito sofocado alto, terrible en su vestimenta real apareciĂł [...] el rey Antelao "Raj-de-Sol -dijo con voz sin vigor alguno- tienes problemas por haber [...] transgredido mis Ăłrdenes y a la montaña y problemas para tĂ­ tambiĂ©n, Zaniel, que has osado mirar y enamorarte de mi hija" Un crujido [...]apabulla sus Ășltimas palabras y las sĂșplicas de Zaniel que pedĂ­a entrar al castillo las puertas se cerraron. l'exploitation par le [...] professionnel de tout malheur ou circonstance particuliĂšre qui dĂ©termine un [...]Ă©tat de vulnĂ©rabilitĂ© tel [...]qu'il altĂšre le jugement du consommateur, connue du professionnel, dans le but d'influencer la dĂ©cision du consommateur Ă  l'Ă©gard du produit, sauf lorsque le consommateur sollicite explicitement le produit dans le contexte d'un tel malheur ou d'une telle circonstance particuliĂšre a utilizaciĂłn por parte del comerciante de [...] cualquier infortunio o [...] circunstancia lo suficientemente grave que lleve a una situaciĂłn de vulnerabilidad [...]capaz de mermar la [...]capacidad de discernimiento del consumidor, de la que el comerciante tenga conocimiento, para influir en la decisiĂłn del consumidor con respecto al producto, excepto cuando el consumidor solicite expresamente dicho producto en relaciĂłn con el infortunio o la circunstancia en cuestiĂłn Si, par malheur, devait perdurer la tragique impasse au Proche-Orient - treize Palestiniens ont Ă©tĂ© tuĂ©s hier Ă  Gaza par l'armĂ©e d'occupation et dix IsraĂ©liens viennent de perdre la vie ce matin dans un attentat suicide Ă  JĂ©rusalem, voilĂ  ce qui doit cesser Ă  tout prix -, si [...]devaient perdurer l'occupation [...]de l'Irak, la guerre en TchĂ©tchĂ©nie, les conflits meurtriers en Afrique, les plans de paix en souffrance comme au Sahara occidental et toutes les humiliations et le dĂ©sespoir nourris par les fractures sociales et culturelles, ainsi que les violations des droits de l'homme qui dĂ©figurent toujours la planĂšte, il est probable que, dans l'avenir, le monde ne sera sĂ»r et la vie ne sera sereine pour personne. Si, por desgracia, perdurase el trĂĄgico punto muerto en Oriente PrĂłximo -trece palestinos fueron asesinados ayer en Gaza por el EjĂ©rcito de ocupaciĂłn y diez israelĂ­es acaban de perder la vida esta mañana en un atentado suicida en JerusalĂ©n, esto es lo que debe cesar a cualquier [...]precio-, si perdurasen [...]la ocupaciĂłn del Iraq, la guerra en Chechenia, los conflictos asesinos en África, la suspensiĂłn de los planes de paz, como en el Sahara occidental, y todas las humillaciones y la desesperanza alimentados por las rupturas sociales y culturales, asĂ­ como las violaciones de los derechos humanos que siguen desfigurando el planeta, es probable que, en el futuro, el mundo no sea seguro y la vida no sea tranquila para nadie. Ils se laissĂšrent surprendre par [...] [...] les Ă©vĂ©nements, ceux-ci ayant pris un autre cours que celui que les prophĂštes de malheur, dĂ©sireux de s'armer jusqu'aux dents, avaient prĂ©dit. Les sorprendiĂł que el curso de los acontecimientos no fuese el que los agoreros interesados en armarse hasta los dientes habĂ­an vaticinado. Si je lis que le marchĂ© est une lutte pour gagner, lorsque je vis des moments d'Ă©change sur le marchĂ© ou aussi au travail, je tends Ă  m'approcher de ces domaines avec [...] une attitude [...] mentale et spirituelle qui influence beaucoup les rĂ©sultats que j'obtiens ensuite et le bonheur ou malheur que j'expĂ©rimente. Si leo que el mercado es una lucha que hay que vencer, cuando vivo momentos de intercambio de mercado o tambiĂ©n en el trabajo, tiendo a acercarme a estos [...] ambientes, con una actitud [...] mental y espiritual que influye mucho en los resultados que luego obtengo y la felicidad o infelicidad que experimento. Doce de Diciembre n'est pas le seul village zapatiste menacĂ© [...] d'expulsion je ne met [...] pas le nom de ceux qui le sont pour ne pas mettre au jour ceux qui ne sont pas zapatistes, mais tous les zapatistes qui se trouvent dans cette situation sont lĂ  non pas par faute de terres ou parce qu'ils ont le malsain plaisir de dĂ©truire la forĂȘt, sinon parce qu'ils se sont vus obligĂ©s de tout laisser pour ne pas engraisser le silence avec lequel le Pouvoir et ses intellectuels enterrent le malheur et la mort des [...]indigĂšnes mexicains. Doce de Diciembre no es el Ășnico [...] poblado zapatista amenazado de [...] desalojo no pongo los nombres de los que sĂ­ son para no descobijar a los que no son zapatistas, pero todos los zapatistas que se encuentran en el mismo predicamento estĂĄn ahĂ­ no porque carezcan de tierra o tengan el morboso placer de destruir la selva, sino porque se han visto obligados a dejar todo para no engrosar el silencio con que el Poder y sus intelectuales sepultan la desgracia y la muerte de los indĂ­genas mexicanos. Aussi croit-elle pouvoir dire que si la terrible tragĂ©die d'HaĂŻti pouvait permettre Ă  toute la ConfĂ©dĂ©ration et Ă  chacun de ses membres de mieux se poser sur la scĂšne internationale dans le [...] plaidoyer en faveur [...] des pauvres du monde qui ne peuvent plus attendre, ce malheur au moins pourrait [...]se transformer en une [...]grande Ă©cole d'apprentissage d'humanitĂ© et en un grand berceau pour la nouvelle civilisation de l'amour et du dĂ©veloppement intĂ©gral. AsĂ­ mismo, podemos decir que la terrible tragedia de HaitĂ­ puede permitir a toda la ConfederaciĂłn y a cada uno de sus miembros presentarse mejor en ĂĄmbito internacional, en la [...] incidencia a favor de [...] los pobres del mundo, que no pueden esperar mĂĄs, esta desgracia puede al menos [...]transformarse en una gran [...]escuela de aprendizaje de humanidad, siendo como una cuna grande para la nueva civilizaciĂłn del amor y el desarrollo integral. Mais pour ceux qui ne choisissent pas de vivre en Ă©levant leur niveau de conscience - qui choisissent de rester emprisonnĂ©s par les limites, qui cherchent Ă  blĂąmer les autres pour leur malheur, qui choisissent de trouver des boucs Ă©missaires pour leur manque de bonheur, pour ceux qui s'obstinent Ă  [...]vivre le vieux monde [...]de conflits - cette augmentation des vibrations de leur corps KA ne sera pas une bĂ©nĂ©diction ; il sera vĂ©cu comme une malĂ©diction. Pero para aquellos que no eligen vivir en conciencia ascendente-los que eligen permanecer prisioneros de las limitaciones, que buscan culpar a otros de sus desgracias, que eligen encontrar chivos expiatorios por su falta de felicidad, para aquellos que insisten en vivir en el viejo mundo del conflicto- [...]este incremento [...]de vibraciĂłn de sus cuerpos KA no serĂĄ una bendiciĂłn; serĂĄ experimentado como una maldiciĂłn. est-il celui par qui le malheur arriva? C ., fue el causante de la desgracia. Malheureusement satan est un infatigable sĂ©ducteur il cache le vrai mal sous les apparences du bien; il leurre les personnes aujourd'hui spĂ©cialement les jeunes et les familles faibles, leur [...] faisant prĂ©fĂ©rer les [...] plaisirs immĂ©diats et passagers qui entraĂźnent immĂ©diatement ou petit Ă  petit au malheur tragique. Desgraciadamente, satanĂĄs es un seductor incansable esconde el verdadero mal bajo una apariencia de bien; atrae a las personas hoy especialmente a los jĂłvenes y a las familias dĂ©biles, [...] haciĂ©ndoles preferir las alegrĂ­as [...] inmediatas y pasajeras que llevan enseguida o al cabo de poco tiempo a la trĂĄgica infelicidad. Il fait observer que le Rapporteur spĂ©cial ne juge aucune [...] mesure dĂ©fensive prise [...] par IsraĂ«l comme Ă©tant lĂ©gitime ou proportionnĂ©e Ă  l'acte qui l'a motivĂ©e et que celui-ci rend IsraĂ«l responsable de tous les malheurs du peuple palestinien et absout les dirigeants palestiniens [...]et les États arabes [...]qui financent et favorisent le terrorisme dans la rĂ©gion, contribuant ainsi plus au problĂšme qu'Ă  sa solution. Observa que el Relator Especial [...] no considera que ninguna medida defensiva adoptada por Israel sea legĂ­tima o proporcionada al acto que la ha motivado, y hace responsable a Israel de todas las desgracias del pueblo palestino, [...]absolviendo a los [...]dirigentes palestinos y a los Estados ĂĄrabes que financian y favorecen el terrorismo en la regiĂłn, contribuyendo asĂ­ mĂĄs al problema que a su soluciĂłn. Si, au siĂšcle dernier, les lĂ©gions de prĂȘtres bretons Ă©taient surtout des fils de paysans, aujourd'hui les 34 sĂ©minaristes de Saint-Yves sont un reflet de la nouvelle mosaĂŻque française d'anciens communistes Ă  cĂŽtĂ© de membres de communautĂ©s charismatiques, des jeunes qui ont retrouvĂ© la foi en redĂ©couvrant les pĂšlerinages traditionnels aux 7 cathĂ©drales de Bretagne, Ă  cĂŽtĂ© de HaĂŻtiens et de Vietnamiens qui deviendront curĂ©s dans les [...] petits villages d'oĂč partaient autrefois [...] les missionnaires français pour les cĂŽtes d'Outre-Mer; des gens qui viennent de solides familles catholiques traditionnelles, Ă  cĂŽtĂ© de fils de divorcĂ©s ou de gens qui ont tournĂ© de dos Ă  l'Église depuis longtemps, et souffrent de se retrouver avec un fils prĂȘtre comme si c'Ă©tait un vrai malheur. Si en el siglo pasado las legiones de curas bretones eran en su mayorĂ­a hijos de campesinos, ahora los 34 seminaristas de Saint-Yves son una imagen del nuevo mosaico francĂ©s ex comunistas junto a miembros de las nuevas comunidades carismĂĄticas; jĂłvenes que han encontrado la fe descubriendo las tradicionales peregrinaciones a las 7 catedrales de Bretaña, junto a haitianos y vietnamitas que serĂĄn [...] pĂĄrrocos en los [...] pueblecitos de los que antiguamente salĂ­an los misioneros franceses para ir a las tierras de Ultramar gente que procede de sĂłlidas familias catĂłlicas tradicionales, junto a hijos de los divorciados o de los que hace tiempo que le dieron la espalda a la Iglesia, y sufren como una desgracia la circunstancia [...]de tener un hijo cura. malheur Ă  celui par qui le scandale arrive ĐłĐŸŃ€Đ” Ń‚ĐŸĐŒŃƒ Ń‡Đ”Đ»ĐŸĐČĐ”Đșу, чДрДз ĐșĐŸŃ‚ĐŸŃ€ĐŸĐłĐŸ ŃĐŸĐ±Đ»Đ°Đ·Đœ ĐżŃ€ĐžŃ…ĐŸĐŽĐžŃ‚ Dictionnaire français-russe des idiomes. 2013. ĐĄĐŒĐŸŃ‚Ń€Đ”Ń‚ŃŒ Ń‡Ń‚ĐŸ таĐșĐŸĐ” "malheur Ă  celui par qui le scandale arrive" ĐČ ĐŽŃ€ŃƒĐłĐžŃ… ŃĐ»ĐŸĐČарях scandale — [ skɑ̃dal ] n. m. ‱ XIIe; bas lat. scandalum, gr. skandalon obstacle, pierre d achoppement » A ♩ Relig. 1 ♩ Occasion de pĂ©chĂ© créée par la personne qui incite les autres Ă  se dĂ©tourner de Dieu; le pĂ©chĂ© commis par la personne qui incite et par
 
 EncyclopĂ©die Universelle malheur — [ malɶr ] n. m. ‱ av. 1526; a mal eĂŒr de façon funeste » fin XIIe; de 1. mal et heur 1 ♩ ÉvĂ©nement qui affecte ou semble de nature Ă  affecter pĂ©niblement, cruellement qqn. ⇒ accident, affliction; calamitĂ©, catastrophe, coup, dĂ©sastre, deuil 
 EncyclopĂ©die Universelle scandale — skan da l s. m. 1° Terme de l Écriture sainte. Ce qui est occasion d errer, de tomber dans l erreur ou dans le pĂ©chĂ©. ‱ Si votre main vous est un sujet de scandale, coupez la, SACI Bible, Évang. St Marc, IX, 42. ‱ JĂ©sus crucifiĂ©, qui a
 
 Dictionnaire de la Langue Française d'Émile LittrĂ© Scandale Mousseau — Affaire Mousseau BĂ©rard Bergevin L affaire Mousseau BĂ©rard Bergevin ou simplement l affaire Mousseau est un scandale ayant touchĂ© un dĂ©putĂ© et deux conseillers lĂ©gislatifs du Parti libĂ©ral entre 1913 et 1914. Ceux ci avaient Ă©tĂ© piĂ©gĂ©s pour
 
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