Unenouvelle fois déçu par la performance du PSG, tenu en échec par Montpellier (0-0) au Parc des Princes, Jean-Michel Larqué a allumé les joueurs parisiens et affiché son soutien à Laurent 100choses à faire avant le lycée (100 Things to Do Before High School) est un sitcom américain en 26 épisodes de 22 minutes créé par Scott Fellows et diffusé entre le 11 novembre 2014 [1] et le 27 février 2016 sur Nickelodeon et au Canada à partir du 8 octobre 2015 sur YTV [2].. En France, la série est diffusée depuis le 11 janvier 2016 sur Nickelodeon [3] et rediffusée sur Tousnos guides. Erreurs à ne pas faire Elden Ring : les pièges à éviter. FromSoftware aime laisser les joueurs se planter lourdement et s'infliger de longues heures de souffrance parfois Avantde donner la réplique à l'immense Gérard Depardieu dans Maison de retraite (MDR), en salles le 23 février 2022, Kev Adams débarque sur Prime Video, avec Haters.Dans cette comédie très 22mai 2018 - Cette épingle a été découverte par Juliette. Découvrez vos propres épingles sur Pinterest et enregistrez-les. Alire sur AlloCiné : Les premières critiques de "Mourir peut attendre", 25e épisode de la franchise 007 et dernière apparition de Daniel Craig sous le smoking de l'agent secret, sont disponibles. SjZjh. Alors qu’elle pesait près de 160 kilos, Stacy Blair a décidé de reprendre sa vie en main. A 28 ans, la jeune femme a eu un déclic et a transformé son hygiène de vie. Aujourd’hui, elle a réussi à perdre près de 100 kilos. Une réussite qu’elle doit à sa détermination sans faille, dont elle partage les secrets sur l’émission Good Morning a eu un déclic à 28 ansSa taille n’est plus un critère pour les activités du quotidienElle documente sa perte de poids sur les réseaux sociauxSes 5 conseils pour perdre du poids 1. Trouver la bonne motivation2. Compter ses calories3. Préparer ses repas à l’avance4. Suivre un régime adapté à sa condition5. Se concentrer sur l’alimentation plutôt que l’exercicePour la jeune femme, sa perte de poids n’est pas liée au désir d’être mince mais à celui d’être en bonne santé. Elle aurait souffert de plusieurs problèmes qui ne faisaient que s’aggraver. En outre, elle commençait à avoir du mal à se déplacer et à se tenir debout. Stacy Blair avant sa perte de poids – Source Losing for health/InstagramElle a eu un déclic à 28 ans“Un matin, je me préparais pour aller au travail, je me suis regardée dans le miroir et j’ai été dévastée par ce que j’ai vu” raconte Blair sur l’émission Good Morning America. A ce moment précis, elle aurait eu un déclic qui l’a poussée à se reprendre en main. “Ce moment a changé ma façon de voir les choses en allant de je veux maigrir pour être mince’ à je veux maigrir pour ne pas mourir’”, poursuit la femme. Son poids de départ 160 kilos, qu’elle a réussi à diminuer au fur et à mesure des années. Aujourd’hui, elle a perdu plus de 100 kilos et affiche une silhouette plus fine qui lui permet de se sentir mieux dans sa peau. Sa transformation avant/après – Source Losing for health/InstagramSa taille n’est plus un critère pour les activités du quotidienPour Stacy Blair, le plus gros avantage lié à sa perte de poids est sa nouvelle liberté dont elle tire profit au quotidien. “Tout est différent. La chose que j’aime le plus est que je n’ai plus à penser à ma taille avant de faire quoi que ce soit”, raconte-t-elle. Et pour cause, la jeune femme aurait évité de prendre l’avion pendant plusieurs années par peur que les sièges ne soient trop étroits pour sa taille. “J’adore les activités en plein air mais je ne pouvais pas faire de randonnée parce que c’était physiquement douloureux”, poursuit Stacy. Aujourd’hui, elle affirme qu’elle réussit enfin à vivre. “Avant, j’existais”, explique-t-elle. Stacy a perdu près de 100 kilos – Source Losing for health/InstagramElle documente sa perte de poids sur les réseaux sociauxPour chercher du soutien durant cette démarche, Stacy a décidé de documenter tout son processus de perte de poids sur Instagram. Cela lui a permis de créer une communauté d’une dizaine de milliers d’abonnés où des astuces et des conseils pour rester motivé sont régulièrement partagés. “C’est incroyable de voir que je suis capable d’inspirer des gens. Je suis juste une fille normale”, indique-t-elle. Son objectif rappeler à ses abonnés qu’il ne faut jamais baisser les bras. “Vous pouvez toujours retrouver votre santé. Vous devez seulement être patient vis-à-vis de vous même et ne jamais abandonner”, affirme la femme avec conviction. Elle fait du vélo et de la randonnée – Source Losing for health/InstagramSes 5 conseils pour perdre du poids Afin d’inspirer ceux qui l’entourent, Stacy a décidé de partager 5 conseils qui lui auraient permis de retrouver une silhouette plus saine 1. Trouver la bonne motivationAprès avoir souffert de l’effet yo-yo tant redouté des régimes en essayant à tout prix de perdre du poids, Stacy a préféré changer de démarche. Son secret ? Trouver une motivation profonde pour éliminer ces kilos en trop. Pour elle, c’était le désir d’avoir des enfants, de pouvoir jouer avec ses petits frères et d’avoir une vie plus saine. “La santé a toujours été mon objectif”, confirme la jeune femme. Elle affiche sa nouvelle silhouette – Source Losing for health/Instagram2. Compter ses caloriesA l’aide d’une application, Stacy a pris la décision de compter ses calories pour surveiller ses portions. Alors qu’elle n’avait aucune notion des apports qu’elle consommait au quotidien, prendre note de ces données lui a permis de restructurer ses repas. “Je me suis concentrée sur les calories uniquement pour mieux comprendre ce que je mettais dans mon corps”, a-t-elle expliqué. Elle documente son évolution – Source Losing for health/Instagram3. Préparer ses repas à l’avancePour éviter de céder aux fringales et aux grignotages frénétiques, la jeune femme a commencé à préparer tous ses repas de la semaine durant le weekend. De cette manière, elle n’aurait d’autre choix que d’opter pour ce qui était à sa disposition. “Avant, je mangeais beaucoup de fast-food, de repas à emporter et de choses malsaines – pizza, chips, tout ce qui ne nécessite aucune préparation” détaille Stacy. Dans ce sens, introduire cette nouvelle habitude à sa routine a été salutaire et fait partie des piliers de sa réussite. Désormais, elle opte pour du saumon ou du poulet, accompagnés de légumes grillés. 4. Suivre un régime adapté à sa conditionPour la jeune femme, le programme le plus adapté était le régime cétogène. Après s’être renseignée sur ses principes pendant environ un an, elle a décidé de franchir le cap. A ses yeux, cela lui a permis de se sentir “satisfaite” plutôt que “frustrée” durant sa perte de poids. “Le régime cétogène a fonctionné pour moi”, indique-t-elle, mais cela n’en fait pas un programme à suivre pour tout le monde. “Vous devez trouver ce que vous pourrez suivre sur le long-terme”, conseille Se concentrer sur l’alimentation plutôt que l’exerciceSi elle a réussi à perdre autant de poids, Stacy considère que ce n’est pas exclusivement lié à l’exercice physique mais plutôt aux changements alimentaires qu’elle a opérés. En effet, la perte des kilos doit impérativement allier une hygiène de vie saine à toute activité sportive. Ses activités de prédilection la randonnée et le vélo. Lire aussi Cette femme aspire à être mannequin malgré sa jambe de 45 kilos. Les gens lui disent qu’elle devrait la faire amputer Un géant couché est moins grand qu’un nain debout. Courant Octobre 2015, à grand renfort de publicité, Paris-Turf nous a annoncé la naissance d’un Géant sur son site Depuis, tous les jours, à toutes les pages, recto, verso, et dans les articles de Copier Côté Parieurs, nous avons eu droit aux éloges et auto-congratulation pour cette invention qui devait s’avérer comme le plus grand, que dis-je, le plus Géant jeu de courses de chevaux du monde et des alentours. Géante invention avez-vous dit? Non, pâle copie d’un jeu retiré par Bélinguier à son accession à la présidence du PMU. Ce jeu s’appelait le Grand7, et demandait aux turfistes de désigner le gagnant des 7 courses d’une réunion. C’était un jeu vertical» comme on le dit de nos jours, et qu’on appelait à l’époque un report gagnant. Il est évident qu’un tel jeu ne trouvait pas son gagnant tous les jours. Il est déjà difficile de trouver un gagnant. Parfois vos pronostiqueurs n’en trouvent pas un seul de toute la journée, alors . . . 7 gagnants, cela tient du miracle. Le règlement stipulait que si le Grand7 n’était pas trouvé, les sommes engagées seraient reportées sur le Grand7 suivant. Ce report des sommes promettait des rapports Géants» à l’heureux gagnant final. Pourtant les rapports restèrent modestes. Ce jeu fit faillite en raison de la gourmandise, du PMU. Ce dernier, au moment de la remise en jeu des sommes non redistribuées les semaines précédentes, les fondait dans la masse des enjeux récents, et prélevait sur l’ensemble, les taxes et les frais. On avait ainsi, un cumul de taxations qui paupérisait l’ensemble des enjeux. Goulu comme un piranha affamé, le PMU a tout bouffé. Par cette basse manoeuvre comptable, le PMU paupérisait les rapports. Ceux-ci étant décevants, les turfistes fermèrent leur portefeuille à double tour, et adieu Berthe. Le PMU fut puni. La gourmandise est un très vilain défaut. Pour mieux comprendre, quand le Grand7 était trouvé à la 10ème semaine, - il y a eu une série de 14 semaines sans gagnants - la première mise des turfistes, que nous représenterons ici comme étant de 100€, après prélèvement de 25%, était réduite à 75€, puis à la deuxième 56,25€, puis 42,18€, puis 31,64€, puis 32,39€, puis 24,29€, puis 18,21€, puis 13,66€, puis 10,24€ et enfin 7,68€. Conclusion le PMU ayant encaissé 100€ de la première tranche, en redistribuait seulement 7,68€ au gagnant final. Il avait ainsi retenu plus de 92% de la masse jouée. Et pour les mises suivantes, avec un décalage de 1 semaine, même punition pour le turfiste. Une véritable tonte. Merci, Grand Ami PMU, de nous avoir volé tout cet argent. A son avénement, Bélinguier sortit des cartons» un jeu vertical» volé à l’un de mes amis longue histoire sur laquelle je reviendrai en détail, et qui n’honore pas le très triste PMU. Ce jeu fut appelé le Quadrio. Malgré une énorme publicité de très mauvais goût, qui comme d’habitude nous coûta bonbon à nous les turfistes c’est toujours le mouton de turfiste qui se fait plumer par le PMU, le Quadrio se cassa la gueule. La honte au visage, Bélinguier se trouva dans l’obligation de le supprimer. Ce fut, à mon avis, la seule chose intelligente que fit Bélinguier. non pas d’installer le Quadrio, mais bien de le supprimer. Apparemment, les turfistes n’aiment pas les jeux verticaux» et voilà-t-y-pas» que le très maladroit vient prétendre à la plus Géante invention depuis que cheval existe, et nous présente un jeu basé sur les placés», infiniment plus facile que le Grand7, qui exigeait de trouver les 7 gagnants». De surcroit les parieurs peuvent entrer dans ce jeu avec 10 centimes? n’avez-vous pas un jeu à 1 centime? Ce serait infiniment plus amusant. Il faut ajouter à cela que ce jeu doit être enregistré au plus tard à 13 heures, ce qui suppose que le joueur doit se lever de bon matin, étudier et jouer. C’est une course avant la course. Qu'espérez-vous, messieurs de Paris-Turf? La faillite de ce jeu est inscrite dans les gênes des looser’s» que vous êtes. Comment arrivez-vous à concilier le terme Géant, et ces piécettes de 10 centimes? Cela fait un peu ramasse-miettes, rapiat, pousse-mégots. Entre autres, c’est du Flexi» autre invention à contre-courant de Bélinguier que le PMU est en train de mourir. Pendant que j’écris ce chapitre, j’ai un oeil qui traîne sur Equidia et j’apprends que la tirelire de 4, est tombée à Toulouse, . . . au Trot, comme d’habitude. Vérification faite, je constate que c’est un Flexi» à 0,25 qui ayant brassé des combinaisons lointaines a remporté euros. Cela tue l’effet gros rapports» et vient donc à contre-courant de la notion de tirelire, elle même étant une hérésie dans le milieu des courses. Bien entendu, j’en mettrai ma main au feu, votre journal de demain prétendra qu’il y a 1 gagnant à 4, millions. Est-ce une maladresse constante, ou bien intentionnelle pour tromper le lecteur et laisser à penser qu’au PMU on peut s’enrichir à millions? Probablement les deux, mes capitaines». Tout cela démontre une circulation» intellectuelle un peu bouchonnée, opaque, souvent un peu obtuse, parfois glauque. N’est pas forcément géant qui se croit géant. Un géant peut enfiler des perles. Une perle ne peut pas enfiler un géant. Ne laissez pas ici galoper votre imagination - restons dans les convenances. J’ai simplement voulu dire, maladroitement je vous l’accorde, que dans un jeu, il faut une confrontation savamment équilibrée entre gain et perte qui permette, loupe en main, façon Sherlock Homes, de trouver le cheminement menant à la victoire, et donnant l’impression au gagnant qu’il est l’homme le plus intelligent de la planète. Il ne faut pas que cette victoire soit trop facile, les jeux se morcelleraient et perdraient tout intérêt ni trop difficile. tout le monde serait découragé et irait gratter des Jeux à la Française». < Ci-contre la rencontre entre le plus grand homme du monde, 2,52 mètres, et le plus petit, 54 cm. Le plus petit se console en prétendant qu’on n’est grand que par l’esprit. Proposer un jeu placé» en principe, et en principe seulement, 3 fois plus simple que le jeu gagnant» que l’on peut jouer avec une mise de 10 centimes, cela multiplie par 30 les probabilités de gagner par rapport au Grand7, et met à genoux votre pauvre Géant. Qui à a inventé pareil truc? Est-ce une réflexion collective? Il y a comme un relâchement d’une partie de votre intellect. Une partie seulement, rassurez-vous, le reste semblant encore intact. Mais méfiez-vous. La connerie est contagieuse. Regardez dans quel état vous m’avez mis. D’ailleurs, les résultats sont là. Ou du moins, ne sont pas là. A ce jour, votre jeu, a rapporté des clopinettes. Mis a part un accident de parcours», où le petit Géant a atteint environ euros de hauteur, conjoncture d’une difficulté extrême et de l’extrême chance de l’un de vos parieurs, qui de plus n’a pas cédé à la tentation de jouer 10 centimes, mais une mise entière. Voila un concours de circonstances qui ne se reproduira pas de si tôt. Derniers rapports j’écris cet article le 10/11/15, lors du week-end spécial d’Auteuil, le 07/11/15 le Géant s’est affaissé à 88€ et le lendemain 08/11/15, il a tenté de se soulever, mais a calé à 112€. Et il a fallu associer les mises sur deux sites, pour atteindre ces sommets. Il n’y a pas de quoi téléphoner aux amis et les inviter à la Tour d’Argent. Le Géant va vous jouer un vilain tour. Il va vous mettre à l’abri de l’argent. Un peu de réflexion aurait dû vous éviter les trois grandes erreurs de votre site. 1° le paiement du 4° placé. 2° le Groupé Gagnant. 3° le Géant. Un échec se rattrape. Trois échecs et c’est la fin des haricots. On insiste quelques temps. Si on insiste trop longtemps on se ruine. On rembourse tout le monde. On ferme boutique. On prend une année sabbatique. On se fait oublier, Un an après on revient sous un autre nom. Avec un peu de mémoire, on évite de refaire les mêmes conneries. C’était le conseil gratuit de ce crétin de Vous souvenez- vous de la photo ci-bas, parue dans Paris-Turf ? Dans une vie déjà trop longue, j’ai eu ma période photographe de mode. Il y était question de maintient, d’élégance, et de sourires . . . naturels. Peu importe l'élégance ici. mais je me vois à la place de ce photographe de presse en train de prononcer le mot cheeze» qui synchronise les beaux sourires de l’ensemble de l’audience et leur confère ces têtes de fromages. Quel naturel ! Le seul qui échappe en partie à ces simagrées est le journaliste dans le fond, mon grand ami Sylvain Copier. Il semble agacé, pressé. Il a tellement de choses inutiles, souvent à contresens, à écrire dans toutes les pages de Paris-Turf. En fait, depuis la très triste maquette Hallopé, Paris-Turf comporte des espaces à remplir. Ainsi ce n’est pas l’événement qui fait l’article, mais l’emplacement réservé qui cherche un non-événement pour l’y loger. C’est une forme de journalisme à l’envers, mais tellement . . . moderne. La photo plus haut montre une des salles de réception le réfectoire peut être, de Paris-Turf à Aubervilliers quelques jours avant le déménagement forcé à Aix-en-Provence, pour des raisons économiques. Avant ce départ, les trois présidents du PMU ont décidé, à tour de rôle, de rendre visite au grand malade, au moribond,» qui part dans le sud, au soleil, dans l’espoir de se refaire une santé. Ce jour-là, c’est le tour de Bertrand Bélinguier 2° à partir de la gauche, vous ne pouvez pas le manquer qui a amené avec lui son beau sourire et la bonne parole sur langue de bois. A cette occasion il prononcera des vérités premières inoubliables. Il prétendra que Paris-Turf était sa lecture favorite quand il était gamin. Tous les matins il en prenait connaissance. Puis Paris-Turf est devenu son journal de chevet. Paris-Turf est entré dans ses gênes. Cela ne l’a pas gêne pour racheter Gény-Courses dans le seul but affiché de couler Paris-Turf, obligés maintenant de partir au loin faire des économies. Bélinguier a voulu tuer son journal de chevet et il a le culot de venir congratuler tout le monde au moment du départ pour l’oubli. Mais tout cela n’est que peccadille aux yeux des journalistes de Paris-Turf. L’homme est très sensible au honneurs, grands ou petits et même minuscules, et c’est un immense honneur ??? pour ces journalistes de recevoir le président du PMU» figurez-vous, même si c’est leur destructeur. Oeillères et mémoire courte. Depuis toujours, depuis plus de 8 ans dans mon rapport de 145 pages, puis dans ce site depuis 2 ans, j’ai écrit une phrase un peu moins idiote que les autres. Une seule! Apparemment je me suis trompé ce jour-là. Elle prétend que Sans le PMU, on ne peut pas faire courir. Sans Paris-Turf, on ne peut pas jouer. . Vous ne croyez pas, M. Bélinguier, plutôt que d’étrangler Paris-Turf, plutôt que de l’acculer au départ en vendant Gény-Courses en dessous de son prix de revient, journal payé par les turfistes, qui dans cette folie ont probablement perdu plus de 25 millions d’euros après faillite de ce torchon, qu’il eut été préférable de vous en tenir à votre métier, qui consiste à faire courir moins de chevaux, de meilleure qualité, avec moins de jeux, plus d’observation de la mutualité» PMU, plus intelligents, sans l’intervention du hasard sous forme de SpOt et Tirelire? Vous ne croyez-vous pas, Messieurs de Paris-Turf, qu’il eut été préférable de vous en tenir à votre métier, qui consiste à défendre le turfiste contre les attaques mercantiles du PMU, plutôt que de vous auto-museler pour sauvegarder les espaces publicitaires d’un PMU qui vous fait perdre vos lecteurs, vous fait une concurrence illicite en bradant Gény-Courses, allant même jusqu’à le distribuer gratuitement? Ne croyez-vous pas qu’il eut été préférable de garder vos meilleurs plumes pour avoir des reportages plus intelligents, de limiter les courses pronostiquées, en déconseillant ouvertement les courses PMU comportant de mauvais chevaux inpronosticables, ce qui vous aurait attiré la sympathie de vos lecteurs et permis de consacrer un peu plus d’espace au rappel des performances des bons chevaux, seule possibilité pour les turfistes de faire le papier» Dans le cahier central de ce 10/11/15, Quinté de Bordeaux, 18 partants, les performances que vous nous présentez, sont réduites à 6 par cheval partant, - au lieu de 9 - dont 2 lointaines, sans intérêt, afin de réserver une place supplémentaire à la publicité. Tout cela est désolant, et à la longue, va vous coûter . . . votre journal. Ne croyez-vous pas que l’ouverture de votre site de jeux est en conflit d’intérêt?». ce qui un jour ou l’autre va vous tomber dessus. Par ailleurs votre apparente maladresse dans ce domaine vous interdit de lutter contre le Géant aux Pieds d’Argile PMU, et ne vous donne aucune chance face aux sites privés venus des îles, avec beaucoup plus de métier et de moyens. Un proverbe qui nous a fait de l’usage prétend A chacun son métier, et les cochons de payants de turfistes, seront bien gardés!» Oui, je sais, je l’ai un peu modifié, mais pas si tant. Bougez, s’il en est encore temps. La vie ne consiste pas à attendre l’orage, mais à apprendre à danser sous la pluie. Auteur inconnu que je jalouse. A chacun sa jalousie. La vôtre porte sur la FdJ. La mienne sur les auteurs de grandes phrases. En attendant ces beaux jours de pluie, vous pataugez dans la gadoue. terminer en activant chantons sous la pluie rappel des résultats de à Petit Géant deviendra grand, pourvu que lui prête vie. C’est mal parti. Aux courses de chevaux, certain argent est trop cher. Il est 19 heures. Je vous fais le bonsoir. ce 10/11/15 < Cliquer sur le Volcan pour atteindre la liste des chapitres disponibles Le Géant Chargement Emissions News Tests Guides d'achat Bons plans Soluces Dossiers Tech & Net DOCUMENT. Le a traduit en français l'intégralité du discours de l'ex-patron d'Apple, dans lequel il évoque ses échecs, ses succès... et sa mort. Steve Jobs en juin 2005, à Stanford. © Courtesy of Stanford University En juin 2005, le patron d'Apple, Steve Jobs, prononça un discours historique devant les étudiants de l'université de Stanford, en Californie. Dans ce qui résonne aujourd'hui comme un testament philosophique, il raconte son histoire personnelle, ses échecs et ses succès professionnels, et évoque la maladie et la mort. Le a traduit l'intégralité de ce discours, en prenant le parti de garder la plupart des tournures orales, même si elles peuvent paraître parfois impromptues à l'écrit. La vidéo du discours, en anglais, est disponible au bas de cette page. Je suis honoré d'être avec vous aujourd'hui pour la cérémonie d'ouverture d'une des meilleures universités du monde. Je n'ai jamais eu de diplôme universitaire. À vrai dire, je n'ai jamais été aussi près d'en obtenir un qu'aujourd'hui. Aujourd'hui, je veux vous raconter trois histoires de ma vie. C'est tout. Pas grand-chose. Juste trois histoires. Faire le lien La première histoire parle de faire le lien. J'ai abandonné le Reed College au bout de six mois, mais j'y suis resté inscrit pendant dix-huit mois avant de réellement abandonner. Pourquoi, alors, ai-je abandonné ? Ça a commencé avant ma naissance. Ma mère biologique était une jeune diplômée, non mariée, et elle a décidé de me faire adopter. Elle était convaincue que je devais être adopté par des diplômés universitaires, donc tout fut arrangé pour que je sois adopté à la naissance par un avocat et son épouse. Sauf que quand je suis arrivé, ils ont décidé à la dernière minute qu'ils voulaient une fille. Donc mes parents, qui étaient sur liste d'attente, reçurent un appel au milieu de la nuit, qui leur demandait “Nous avons un petit garçon inattendu, vous le voulez ?” Ils dirent “bien sûr”. Ma mère biologique découvrit plus tard que ma mère n'avait jamais été diplômée et que mon père n'avait jamais fini le lycée. Elle refusa de signer les papiers d'adoption définitifs. Elle n'accepta que quelques mois plus tard, quand mes parents promirent que j'irais, un jour, à l'université. J'ai décidé d'abandonner Et, 17 ans plus tard, j'allais à l'université. Mais j'en ai naïvement choisi une qui était presque aussi chère que Stanford, et l'intégralité des économies de mes parents cols bleus partait dans mes frais scolaires. Après six mois, j'étais incapable d'y voir un intérêt. Je n'avais aucune idée de quoi faire de ma vie et aucune idée de comment l'université m'aiderait à le découvrir. Et j'étais là, à dépenser tout l'argent que mes parents avaient économisé toute leur vie. Donc j'ai décidé d'abandonner et d'avoir confiance dans l'idée que tout irait bien. C'était parfois assez effrayant, mais quand je regarde en arrière, c'est une des meilleures décisions que j'ai jamais prises. Dès que j'ai abandonné, j'ai pu arrêter de suivre les cours obligatoires qui ne m'intéressaient pas, et commencer à suivre ceux qui avaient l'air intéressants. Je dormais par terre Ce n'était pas tout rose. Je n'avais pas de chambre d'étudiant, donc je dormais par terre dans la chambre de mes amis. Je ramenais les bouteilles de Coca pour récupérer la consigne de 5 cents afin de m'acheter de la nourriture, et je traversais la ville sur les 11 kilomètres qui me séparaient du temple Hare Krishna, tous les dimanches soir, pour avoir un bon repas par semaine. J'adorais ça. Et la majorité de ce que j'ai découvert par hasard en suivant ma curiosité et mon intuition s'est révélé inestimable par la suite. Laissez-moi vous donner un exemple le Reed College, à l'époque, proposait ce qui était probablement les meilleurs cours de calligraphie du pays. Partout sur le campus, chaque affiche, chaque étiquette sur chaque tiroir était superbement calligraphiée à la main. Puisque j'avais abandonné, je n'étais pas obligé de suivre les cours normaux, donc j'ai décidé de suivre un cours de calligraphie pour apprendre à faire ça. J'ai appris ce qu'étaient les caractères avec et sans empattement, les variations d'espace entre différentes combinaisons de lettres, et pourquoi une typographie géniale est géniale. C'était beau, historique, artistiquement subtil, d'une façon que la science ne pouvait pas comprendre, et j'ai trouvé ça fascinant. Le destin, la vie, le karma, peu importe Rien de tout ça n'avait le moindre espoir d'application pratique dans ma vie. Mais dix ans plus tard, alors que nous concevions le premier ordinateur Macintosh, tout cela m'est revenu. Et nous avons tout injecté dans le Mac. C'était le premier ordinateur avec une belle typographie. Si je n'avais pas assisté à l'improviste à ce cours-là à l'université, le Mac n'aurait jamais eu des polices d'écriture différentes, ou proportionnellement espacées. Et vu que Windows n'a fait que copier le Mac, il est probable qu'aucun ordinateur n'en disposerait. Si je n'avais pas abandonné, je n'aurais jamais assisté à ce cours de calligraphie et les ordinateurs personnels n'auraient peut-être pas les merveilleuses typographies qu'ils ont. Bien sûr, c'était impossible de faire le lien en regardant vers l'avenir quand j'étais à l'université. Mais c'était très, très clair quand j'ai regardé en arrière dix ans plus tard. Je le répète, il est impossible de faire le lien en regardant vers l'avenir, on ne peut le faire qu'en regardant en arrière. Vous devez donc croire dans le fait que les liens se feront dans le futur, d'une manière ou d'une autre. Vous devez aussi croire en quelque chose – vos tripes, le destin, la vie, le karma, peu importe. Cette approche ne m'a jamais déçu, et cela a fait toute la différence dans ma vie. 1 2 3 Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Apple le discours testament de Steve Jobs à Stanford en 2005 2 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Auteur Micdoodle8 Version de Minecraft / / / Version du mod Lien Original Avant-proposBonjour cher lecteurs, chères lectrices. Je me lance aujourd’hui le défi de faire cet article sur Galacticraft. Ennemi des rédacteurs de Minecraft-France depuis toujours tant présenter un mod aussi dense est difficile, il hante le site et je me sentais attiré par l’univers que propose ce mod. Il reste cependant important de consulter le wiki pour avoir toutes les informations. Cet article traitera principalement les bases du mod. L’espace, un petit mot qui définit l’immensité de cette immensité floue dans laquelle nous baignons. Bon nombre de gens s’y sont aventuré, l’un des derniers, Thomas Pesquet vient tout droit de notre cher pays. Vous aimeriez faire de même, mais vous préférez jouer à minecraft au lieu de réviser vos cours ? Hé bien ne perdez pas espoir, Micdoodle8 accomplit nos rêves en nous proposant l’un des mods les plus complets de Minecraft Galacticraft Pour des raisons de clarté et de simplification, les noms des différents blocs et items seront laissés en anglais. Aussi, les Addons ne seront pas présentés. Envie de rien, envie d’étoiles ! Tout d’abord, vous ne pouvez visiter que la Terre, la Lune, Mars, Vénus, les astéroïdes ainsi que votre station spatiale. Bien évidemment, si vous souhaitez accéder à ces lieux, il faudra le faire étape par étapes. C’est aussi ainsi que l’article sera formé ! Avant toutes choses, il faudra bien vous équiper si vous souhaitez survivre sur ces planètes. La première chose à faire est donc d’aller rassembler les 4 minerais indispensables à la fabrication de vos premiers appareils et équipements l’étain, le cuivre, l’aluminium et le silicium, qui est plus rare que les trois autres. Bien évidemment il vous faudra plus que trois pauvres blocs pensez à en récolter plusieurs stacks pour être sûr de ne manquer de rien. Notez qu’il faut les faire fondre en lingots, à l’exception du silicium. Il vous faudra aussi de l’énergie, élément tout aussi important que les minerais. Afin de fabriquer la plupart des composants et outils de Galacticraft, vous aurez besoin de machines qui ont elles-mêmes besoin d’énergie pour fonctionner. Galacticraft dispose d’un certain nombre de machines étonnantes. Bien que l’orientation de la table de craft n’ait pas d’importance, les machines que vous créez ont des aspects uniques. Certains pourraient exiger une entrée de puissance sur un côté particulier, certains pourraient produire de l’oxygène sur un autre côté, et ainsi de suite. Beaucoup de machines ont besoin d’électricité pour la mise sous tension, bien que quelques-unes soient alimentées par du charbon. Eléments importants Minerais Composants Machines Energie Voici donc à quoi ressemblent les fameux minerais indispensables à votre survie dans Galacticraft. Nom Image Localisation Couches Aluminium Overworld, Astéroïdes 0 Bibliothèque > Application Support. Si vous ne trouvez pas Application Support, faites Finder > Barre des menus Aller + Maintenir ALT > Bibliothèque. Glissez ensuite le zip de votre mod dans le dossier mods, qui se trouve dans votre .minecraft. Lancez le jeu, et amusez-vous bien ! Crédits à l’article de Skywebz sur lequel je me suis fortement inspiré Image de Une réalisée par Biboush.

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