Enhospitalisation classique, la prise en compte de la Ct permet « d'apprécier la part du niveau d’excrétion virale dans l’évolution de la maladie », ajoute les auteurs. En milieu professionnel,
Queveut dire '' les autorites britanniques '' Ca veut dire quoi en fait ? :??: Actu Guide d’achat Test Dossier Tuto Télécharger Forum Menu. Actu Guide d’achat Test Dossier Tuto Télécharger Forum Accueil. Forums. Nouveaux messages Rechercher un sujet. Quoi de neuf. Nouveaux messages Nouveaux messages de profil Activités générales. Membres. Visiteurs
caveut dire quoi? lya75, le 25/10/2006. Que veux dire vivre son célibat? Est ce que c'est "supportez vous votre célibat?" Moi le célibat je pourrais le supporter mieux si j'étais pas sans amis sur Paris. Pouvez vous m'expliquer votre vision à ce niveau là ? Voter. Célibat . Répondre. aucun message. Tri : Pertinence
Gardezà l’esprit que l’excrétion virale semble être maximale autour de l’apparition des symptômes et ce pendant quelques jours seulement. Comment faire un Auto-test positif ? Vous pouvez l’utiliser pour prendre rendez-vous dans un centre de test, un laboratoire ou chez un pharmacien. Vous pouvez trouver la liste des pharmacies qui
Sila prise de sang est anormale, du sang sera étalé sur une lame de verre et coloré pour être regardé au microscope par le biologiste, qui fera un commentaire sur la forme, la taille des cellules du sang ou la présence de cellules anormales ". Pour interpréter les résultats de cet examen, " on regarde chaque type de cellule
Çaveut dire quoi - traduction français-anglais. Forums pour discuter de Ça veut dire quoi, voir ses formes composées, des exemples et poser vos questions. Gratuit.
3fLc. Le temps qui passe © Max Pixel Difficile d’imaginer que les symptômes d’une pathologie puissent se manifester de très longues années après avoir été en contact avec un microorganisme pathogène. C’est pourtant ce qui est arrivé à un patient australien qui présentait une lésion sur le visage. Cet homme de 76 ans a consulté au département de maladies infectieuses de l’Université de Melbourne pour une lésion croûteuse de la lèvre supérieure, jouxtant la muqueuse nasale et évoluant depuis plus de dix mois. Tout avait débuté par un petit bouton. Une biopsie de la lésion a été réalisée. La biologie moléculaire a alors révélé la présence d’un parasite celui de la leishmaniose cutanée, une infection parasitaire transmise par des piqures d’insectes de la famille des phlébotomes. La leishmaniose est provoquée par un parasite protozoaire du genre Leishmania. Il en existe plus de vingt espèces différentes. C’est Leishmania infantum qui a été identifiée chez ce patient, espèce présente de façon quasi-permanente dans le sud de la France, en Italie, au Portugal et à Malte. De fait, tout le pourtour du bassin méditerranéen est une zone endémique pour ce parasite. Il se trouve que ce patient, né en Italie, avait immigré en Australie en 1952. Il s’était rendu dans son pays natal et dans le sud de la France 19 ans auparavant. Il n’avait pas voyagé depuis et n’avait jamais présenté ce type de lésion du visage auparavant. Publié le 27 novembre 2014 dans la revue en ligne BMC Infectious Diseases, ce cas clinique est remarquable dans la mesure où il s’est écoulé 19 ans entre le moment où le patient a effectué son voyage en Europe et celui où il a présenté la maladie. Une période d’incubation excessivement longue. Il s’agit également du premier cas importé d’infection à L. infantum en Australie. Une guérison complète a été obtenue après un traitement antiparasitaire chez ce patient qui présentait par ailleurs une légère baisse de l’immunité cellulaire diminution modérée et inexpliquée du taux des lymphocytes CD4, persistante après traitement. Ténia du porc La leishmaniose cutanée n’est pas la seule maladie parasitaire susceptible de se déclarer cliniquement très longtemps après l’exposition à un agent pathogène. Des médecins américains ont ainsi rapporté qu’une maladie neurologique avait atteint des membres d’une communauté juive orthodoxe de New York plusieurs années après avoir été en contact avec un parasite. Quatre patients ont développé une neurocysticercose, une maladie due à l’infestation du système nerveux central humain par la forme larvaire du ténia du porc. Âgés de 6, 16, 34 et 39 ans, ces patients deux hommes et deux femmes ont tous présenté des lésions du cerveau kystes calcifiés responsables de crises d’épilepsie. Une adolescente présentait également une perte du langage. Neurocysticercose calcifications cérébrales image scanner Oscar H. Del Brutto. Neurohospitalist. Oct 2014; 44 205–212. Ces personnes n’avaient pas voyagé récemment en zones rurales dans des pays d’Amérique latine ou d’Afrique où ce parasite sévit à l’état endémique, ni évidemment mangé de porc car ne consommant que de la viande cachère. Deux patients étaient nés dans la ville de New York, un troisième dans l’état voisin du New Jersey. Un autre malade était né au Maroc mais résidait aux États-Unis depuis 15 ans. Un élément épidémiologique réunissait pourtant ces quatre patients tous employaient à domicile des femmes ayant récemment émigré de pays d’Amérique latine à forte endémie pour le ténia du porc Taenia solium. Deux employés de maison travaillaient au domicile d’un patient né à New York quand il est tombé malade. Chez une domestique, des œufs de ténia ont été retrouvés dans les selles et les analyses de sang ont révélé la présence d’anticorps dirigés contre le parasite. Cette employée avait été au service de cette famille au cours des dix dernières années et se rendait chaque année en vacances dans son village au Mexique. La famille du patient avait eu au moins dix employés de maison au cours des cinq ans précédant la survenue de la maladie. Des analyses de sang pratiquées chez l’une des servantes ont montré la présence d’anticorps anti-Taenia solium. De même, plusieurs domestiques originaires d’Amérique latine avaient été au service de la famille du patient du New Jersey quand il était enfant. Enfin, la famille du second patient né à New-York avait employé des employées hispaniques au cours des six années précédant la survenue de la parasitose cérébrale. Dans ces familles juives ne consommant pas de porc et n’ayant pas voyagé dans des pays de forte endémie, les personnes se sont infectées en portant à leur bouche leurs mains contaminées par des œufs de ténia. Comment ? Tout simplement après contact avec une personne porteuse du parasite dont les selles en contenaient par intermittence. Le classique cycle de transmission oro-fécal. Ces cas cliniques, rapportés dans le New England Journal of Medicine en 1992, comme d’autres plus anciens, montrent qu’un délai de quelques mois à plus de dix ans peut exister entre le moment où un patient contracte l’infection et celui où il développe une neurocysticercose. Cette parasitose cérébrale, la plus répandue à travers le monde, se rencontre surtout dans les pays en voie de développement non musulmans où elle représente la première cause d’épilepsie imputable à une lésion cérébrale. A tous ceux qui penseraient qu’un délai très important entre l’exposition à un germe pathogène et la survenue d’une maladie ne s’observe que dans les infections parasitaires, signalons que les lésions cutanées imputables à une intoxication chronique à l’arsenic surtout par l’eau de boisson surviennent après environ dix ans et que les cancers peau, estomac, poumon, foie, rein apparaissent après une période de vingt ans. On le voit, certains parasites et toxiques savent se montrer très patients avant d’exercer leur effet néfaste sur l’organisme humain. Marc Gozlan Suivez-moi sur Twitter, sur Facebook Pour en savoir plus Crowe A, Slavin J, Stark D, Aboltins C. A case of imported Leishmania infantum cutaneous leishmaniasis; an unusual presentation occurring 19 years after travel. BMC Infect Dis. 2014 Nov 27;141597. Lenvers P, Marty P, Peyron F. Ulcération chronique du visage penser à une leishmaniose cutanée métropolitaine due à Leishmania infantum. Ann Dermatol Venereol. 2013 Nov;14011704-7. Campino L, Pratlong F, Abranches P, Rioux JA, Santos-Gomes G, Alves-Pires C, Cortes S, Ramada J, Cristovão JM, Afonso MO, Dedet JP. Leishmaniasis in Portugal enzyme polymorphism of Leishmania infantum based on the identification of 213 strains. Trop Med Int Health. 2006 Nov;11111708-14. Pace D, Williams TN, Grochowska A, Betts A, Attard-Montalto S, Boffa MJ, Vella C. Manifestations of paediatric Leishmania infantum infections in Malta. Travel Med Infect Dis. 2011 Jan;9137-46. Schantz PM, Moore AC, Muñoz JL, Hartman BJ, Schaefer JA, Aron AM, Persaud D, Sarti E, Wilson M, Flisser A. Neurocysticercosis in an Orthodox Jewish community in New York City. N Engl J Med. 1992 Sep 3;32710692-5. Burgdorf WH, Hoenig LJ. Arsenicosis the greatest public health disaster in history. JAMA Dermatol. 2014 Nov 1;150111151. Cliché aimablement fourni par Kathy Keatley Garvey Les beaux jours sont de retour. Et avec eux, le risque de se faire piquer par une abeille. Mais ressent-on la douleur avec la même intensité n’importe où sur le corps ? A quels endroits, la piqûre est-elle la plus douloureuse ? C’est ce qu’a voulu savoir un chercheur, adepte de l’auto-expérimentation, qui n’a pas hésité à s’infliger des piqûres d’abeille sur diverses parties du corps, même les zones les plus intimes et donc, en principe, le plus souvent non découvertes. Premier résultat de cette étude réalisée au cours de l’été 2012 à Ithaca, dans l’Etat de New York, entre le 20 août et le 26 septembre comme l’on pouvait s’y attendre, toutes les piqûres d’abeille sont douloureuses. Second résultat la douleur est la plus intense lorsque l’abeille plante son dard dans le cuir chevelu, l’extrémité d’un orteil, ou dans le bras. Pire encore, rien ne va plus lorsqu’elle choisit de s’attaquer à une narine, la lèvre supérieure ou le corps du… pénis ! Ces trois dernières localisations s’avèrent même plus douloureuses que lorsque l’abeille s’en prend aux testicules, dont la peau est pourtant très fine. C’est à l’espèce Apis mellifera, la plus répandue des abeilles, au corps velu avec bandes brunes et noires, que s’est intéressé Michael Smith du département de neurobiologie et du comportement de l’Université Cornell Ithaca, New York. Cet étudiant besogneux et quelque peu masochiste s’est donc pris d’une mordante passion pour cette ouvrière dont l’aiguillon barbelé reste le plus souvent au point de piqûre, entraînant la mort par éventration de l’indispensable insecte pollinisateur. Notre chercheur en herbe, si je puis m’exprimer ainsi, auto-expérimentateur invétéré et averti, n’a donc pas eu à affronter le comité d’éthique de son université pour que celui-ci autorise un essai clinique portant sur un seul individu, lui-même en l’occurrence. Ainsi, souligne-t-il avec malice dans son article publié par la revue en ligne Peer J, le programme de protection sur les recherches humaines de la Cornell University n’a pas de politique concernant l’auto-expérimentation, de telle sorte que cette recherche n’a pas à être soumise à l’approbation de ses services. Les méthodes ne contreviennent pas à la Déclaration de Helsinki de 1975, révisée en 1983. L’auteur, la seule personne à être piquée, était conscient de tous les risques associés, a donné son consentement et sait que ces résultats seront rendus publics ». Téméraire, mais pas fou, notre étudiant accro au venin d’abeilles. Piqué cinq fois par jour dans les trois mois précédents ce projet de recherche, il savait qu’il ne risquait pas que son système immunitaire s’emballe et provoque un choc anaphylactique, la forme la plus sévère et potentiellement mortelle, d’allergie aux piqûres d’hyménoptère. Il ne s’agit pas, comme on pourrait le croire, d’une expérience en plein champ » dans laquelle le chercheur attendrait patiemment, une tartine de confiture à la main, qu’une abeille qu’il repousserait violemment s’en prenne à lui ? Non, notre amoureux des abeilles capture les vigiles postées à l’entrée des ruches, ces gardiennes qui protègent la colonie des ennemis. Armé d’une pince qui leur enserre les ailes, il applique ensuite la bestiole à un endroit précis de son corps crâne, derrière l’oreille ou le cou, mamelon, aisselle, bras, avant-bras, poignet, doigt, bas du dos, abdomen, dos de la main, paume, cuisse, pénis, scrotum, fesse, narine, joue, lèvre supérieure, creux du genou, mollet, plante ou dos du pied, orteil. Le compte y est 25 emplacements bien choisis. Et de préciser que pour la piqûre à la fesse, il n’avait nul besoin d’une infirmière, seulement de se contorsionner, debout devant un miroir, pour atteindre son objectif. 5 piqûres par jour Le chercheur a évidemment pris soin de s’administrer ces piqûres d’abeille, à raison de cinq par jour, toujours entre 9h et 10h prenant donc en compte les données les plus récentes en matière de chronobiologie et en alternant le côté droit ou gauche du corps. De plus, c’est un programme informatique qui déterminait, au hasard, l’emplacement de la piqûre, sachant cependant que celle-ci était systématiquement précédée et suivie d’une piqûre test » au bras, notée 5 sur une échelle visuelle de la douleur allant de 0 à 10. On rappelle que l’échelle visuelle analogique est un moyen fiable permettant au patient d’évaluer la douleur ressentie au moyen d’une réglette. Il déplace un curseur de l’extrémité pas de douleur » à l’autre extrémité représentant une douleur insupportable ». Michael Smith a ainsi évalué sa douleur à la piqûre d’abeille dans la narine, la lèvre supérieure et le pénis à respectivement 9, 8,7 et 7,3 sur l’échelle de la douleur. Et la douleur au scrotum qui aurait pu l’emporter, me demanderez-vous ? Eh bien, elle a occasionné une sensation ressentie 7 sur 10. C’est d’ailleurs le jour où notre chercheur, vêtu d’un short, s’est fait piquer aux bourses qu’il a subitement eu l’idée de ce protocole de recherche clinique. Autre enseignement de cette étude la douleur n’est ni de droite, ni de gauche, aucune différence statistiquement significative n’ayant été observée selon le côté du corps où l’abeille était appliquée. Le dard était laissé en place pendant une minute avant d’être retiré à la pince. Le chercheur avait pris la peine, si j’ose dire, de renouveler son expérience à trois reprises, sans doute pour augmenter la puissance statistique de son expérience. Résultat la douleur en un site donné ne variait pas de façon significative selon qu’il s’agissait de la première, deuxième ou troisième piqûre à ce même endroit. Pas plus qu’en fonction du jour où l’abeille piquait. Le nez et les lèvres sont des orifices, ce qui pourrait expliquer qu’ils aient un seuil douloureux de protection moindre que pour d’autres zones cutanées, fait remarquer le chercheur. Les piqûres à la narine sont spécialement violentes, provoquant immédiatement éternuements, larmes et écoulement nasal. Et la victime consentante de postuler que cette abondante sécrétion de mucus pourrait être un moyen de défense contre d’autres attaques. On veut bien le croire ! 190 piqûres Dernier résultat de cette étude, ayant nécessité au total 190 piqûres sur une durée de 38 jours, l’épaisseur de la peau n’explique pas pleinement l’intensité de la douleur. En effet, une piqûre de la paume, pourtant deux fois plus épaisse que le dos de la main, occasionnait en moyenne, sur une échelle de 10, une douleur à 7 versus 5,3 pour la face dorsale. Comme pour s’excuser de ne pas avoir conduit une étude tous azimuts, Michael Smith précise qu’elle n’a pas porté sur les piqûres d’abeille sur la langue ou l’œil. On l’excusera volontiers, sachant que les blessures de la cornée dues à un dard d’abeille, heureusement rares, peuvent entraîner des complications sévères allant jusqu’à une perte de la vision du fait de l’action toxique ou immunologique du venin sécrété par l’insecte ainsi que par la présence de l’aiguillon dans les tissus oculaires. Lorsque j’en ai parlé avec mon référent, il a eu peur que je devienne aveugle. J’ai donc préféré garder mes yeux intacts », a-t-il déclaré, un brin lucide. J’espère que cette étude ne vous aura pas donné le bourdon et que ces résultats ne seront pas reproduits sur une vaste cohorte, comme il est d’usage à l’issue d’une étude sur un petit nombre de sujets. Si tel était le cas, je plains déjà les personnes, évidemment toutes volontaires, qui participeraient dare dare ou plutôt, dard, dard à cette étude d’envergure, qui ne manquerait pas de piquant. Tout cela pour que des chercheurs, sans doute un peu sadiques, en fasse leur miel. Marc Gozlan Suivez-moi sur Twitter, sur Facebook Cliché aimablement fourni par Kathy Keatley Garvey Cliché aimablement fourni par Kathy Keatley Garvey Pour en savoir plus Smith ML.2014. Honey bee sting pain index by body location. PeerJ 2e338 Limaiem R, Chaabouni A, El Maazi A, Mnasri H, Mghaieth F, El Matri L. Lésions oculaires par piqûre d’abeille. À propos d’un cas. J Fr Ophtalmol. 2009 Apr;324277-9. Offret H, Porras J, Labetoulle M, Offret O, Fabre M. Nécrose palpébrale par piqûre d’hyménoptère. J Fr Ophtalmol. 2008 Nov;319936-8. un cas, survenu en Tunisie, de perte de la paupière inférieure après une piqûre d’hyménoptère indéterminé chez un homme de 39 ans. Kouamé EK, Brouh Y, Boua N. Envenimation massive par un essaim d’abeilles chez un nourrisson. Archives de pédiatrie 11 2004 1333–1335. en Côte-d’Ivoire, un cas d’envenimation massive chez un nourrisson de 19 mois. Il a été procédé à une ablation de plus de 350 dards chez ce petit miraculé !. I. Sullerot, J. Birnbaum, E. Girodet. Le syndrome d’envenimation massive à propos d’un cas clinique de piqûres multiples discuté par le groupe insectes » de la SFA. Revue Française d’Allergologie, Volume 53, Issue 1, Pages 50-52. le cas d’un patient de 36 ans qui se fait piquer par plus d’une centaine de guêpes en marchant sur un nid. Après sa prise en charge rapide par les urgences de l’hôpital, la récupération est complète en quelques heures. Michael Smith avant son auto-expérimentation. Cornell University Je remercie chaleureusement Kathy Keatley Garvey de l’University California Davis, Department of Entomology. Prix de la meilleure photo gold award », Outstanding Professional Skill Award in Photography, le 11 juin 2012, à l’International Association for Communication Excellence ACE. Il est excessivement rare, sinon exceptionnel, de photographier l’instant où l’abeille reprend son vol après avoir planté son dard dans la chair humaine en y laissant une partie de son abdomen. Ce qui, comme chacun sait, lui sera fatal. L’abeille venait de piquer l’apiculteur Eric Mussen du département d’entomologie University of California, Davis dans une ruche expérimentale Harry H. Laidlaw Jr. Honey Bee Research Facility. Kathy me précise que ces trois clichés ont été pris dans la même seconde avec un Nikon D700, pouvant prendre 8 images à la seconde, équipé d’un objectif macro de 105 mm. Réglages 640 ISO, 1/250e, ouverture de 13.
Quelle est la différence entre une théorie du complot et la réalité? Entre six mois et un an. J’ai déjà beaucoup publié d’articles de ce bon Dr Chudov. En général, j’évite de me cantonner à un auteur en particulier mais là , il faut dire qu’il est tellement sur la balle – je pense qu’il épluche en permanence les publications médicales – qu’il devient un des piliers de ce blog. Si vous ne le saviez pas, non seulement j’épluche moi-même des dizaines d’articles tous les jours – notamment sur Substack, ce qui me met très en retard pour écrire les miens, même cas de figure que Monica Hughes – mais j’épluche aussi les commentaires, dont le nombre peut atteindre plusieurs centaines par article. C’est une source prodigieuse d’informations et d’histoires vécues. Igor Chudov en a rajouté trois à la fin de son article. Vu l’intérêt du problème et l’ampleur de ses conséquences, j’en ai rajouté d’autres je n’ai pas inclus le texte original, c’est déjà assez long comme ça, mais j’ai mis le lien à chaque fois. Vous voyez à quoi je passe mes soirées… Rappelons que je publiai il y a un an jour pour jour le 5 mai 2021 l’extrait d’un webinaire des Drs Christiane Northrup, Larry Palewski, Lee Merritt, Sherry Tenpenny et Carrie Madej qui sonnaient l’alarme précisément au sujet de l’excrétion des vaccins – allez relire le truc, pour mémoire. Ma propre conclusion est que ce n’est pas de l’excrétion à proprement parler c’est un vaccin auto-diffusant, sauf que ce n’est pas un vaccin. Vous suivez? Sinon, allez relire ce que j’ai écrit il y a presque un an dans ce conte pour enfants. Vous y verrez peut-être une similarité avec tout ce qui se déroule maintenant – à part les trois dernières phrases. A part les trois dernières phrases pour l’instant. Je reviens au plus tôt sur les phases suivantes de cette guerre totale – militaire, énergétique, alimentaire – pour expliquer comment elles fonctionnent au présent, comment elles vont s’articuler ensuite et qui est visé, point que je n’ai encore vu soulevé nulle part. Bon courage à tous. Source. Traduction Une excrétion vaccinale statistiquement significative des parents aux enfants Igor Chudov 3 mai Les personnes vaccinées nous transmettent-elles les sous-produits de leurs vaccins? Nous savions parfaitement, avec certitude, que l’excrétion des vaccins n’était pas possible, car les experts de la santé et les vérificateurs de faits » nous l’avaient dit. Et nous croyons à la science » et à nos experts de la santé ». Pas vrai? Sauf que c’est FAUX et que l’excrétion de ces vaccins vient d’être démontrée scientifiquement! Même moi, je croyais qu’il n’existait aucun mécanisme plausible pour expliquer l’excrétion de ces vaccins. Je pensais que c’était une théorie du complot sans fondement. Quel benêt! En fait, JE ME TROMPAIS et l’excrétion de ces vaccins est bien réelle et elle est mesurable. Une étude intitulée Evidence for Aerosol Transfer of SARS-CoV2-specific Humoral Immunity » vient d’être publiée. L’évaluation des échantillons ainsi réalisée a révélé qu’un taux élevé d’IgG intranasales chez les parents vaccinés était significativement associé valeur p = 0,01 à une augmentation de 0,38 des gMFI d’IgG intranasales après transformation logarithmique chez un enfant du même foyer Fig 1F. RésultatsLa prolongation de l’obligation de porter un masque dans les environnements sociaux et professionnels a fourni une occasion unique d’évaluer la possibilité d’expiration d’anticorps aérosolisés provenant de personnes vaccinées. À l’aide d’un essai immunologique multiplex sur microsphères MMIA basé sur la cytométrie en flux pour détecter les anticorps spécifiques du SARS-CoV-2 Fig. 1A et B 4,5 et d’une méthode précédemment utilisée pour éluer les anticorps à partir de taches de sang séché DBS réhydratées, nous avons identifié des anticorps spécifiques du SARS-CoV-2 élués à partir de masques chirurgicaux portés par des membres de laboratoire vaccinés et donnés à la fin d’une journée de travail. Conformément aux résultats rapportés par d’autres, nous avons identifié des IgG et des IgA dans la salive des personnes vaccinées Fig 1C et D. Il n’était donc pas surprenant de détecter à la fois des IgG et des IgA après élution des anticorps des masques faciaux Fig 1C et D.Au vu de ces observations, nous avons émis l’hypothèse que le transfert d’anticorps par gouttelettes/aérosols pouvait se produire entre individus, tout comme les particules virales par gouttelettes/aérosols peuvent être échangées par la même voie. Pour évaluer cette hypothèse, nous avons obtenu des écouvillons nasaux d’enfants vivant dans des foyers dont les parents ou les membres de la famille présentaient des degrés variables d’immunité spécifique au SARS-CoV2, y compris des enfants non vaccinés, vaccinés et COVID-19+. La comparaison initiale des écouvillons nasaux obtenus auprès d’enfants vivant dans des foyers vaccinés a révélé la présence d’IgG spécifiques du SARS-CoV-2 facilement détectables Fig 1E, surtout si on les compare à l’absence totale d’anticorps spécifiques du SARS-CoV-2 détectée dans les quelques écouvillons nasaux obtenus auprès d’enfants vivant dans des foyers non vaccinés. Nous avons ensuite utilisé la variation des niveaux d’IgG intranasales des parents comme base de stratification dans tous les échantillons d’enfants. La transformation logarithmique des données de trente-quatre paires adulte-enfant a permis d’établir des seuils d’anticorps pour les niveaux élevés et faibles d’anticorps intranasaux des parents. L’évaluation des échantillons de cette manière a révélé qu’un taux élevé d’IgG intranasal chez les parents vaccinés était significativement associé valeur p = 0,01 à une augmentation de 0,38 des gMFI d’IgG intranasal après transformation logarithmique chez un enfant du même foyer Fig 1F. Cette relation positive significative a été observée en utilisant une analyse paramétrique ou non paramétrique, et les ajustements pour la corrélation au sein du foyer n’ont pas modifié la conclusion. Bien que non statistiquement significative, une tendance similaire d’élévation des IgA a été observée dans les mêmes échantillons. Je vais vous expliquer. Tout d’abord, ces scientifiques de l’Université du Colorado ont examiné des masques faciaux, portés par des travailleurs de la santé vaccinés. Ils ont constaté que ces travailleurs excrétaient des anticorps générés par la vaccination, et que certains anticorps étaient piégés dans les masques et pouvaient être détectés. Cela signifie que les personnes vaccinées excrètent » littéralement des anticorps provoqués par la vaccination. Intéressés par ces résultats, les scientifiques ont poussé plus loin leurs recherches ils ont comparé des enfants non vaccinés vivant avec des parents non vaccinés à des enfants également non vaccinés, mais vivant avec des parents vaccinés. Il s’est révélé que les parents vaccinés excrétaient activement les particules produites par le vaccin sur leurs enfants, de sorte que ces derniers acquéraient une immunité humorale » après avoir été exposés aux particules excrétées par leurs parents! Non seulement cette constatation était évidente dans les données, mais elle était en fait FORTEMENT significative sur le plan statistique avec une valeur p de 0,01 ! Cela signifie qu’il ne s’agit pas d’une découverte fortuite. Il reste à expliquer POURQUOI les enfants ont des IgG intranasales. Les auteurs semblent penser que c’est à cause de l’excrétion d’anticorps via gouttelettes. En d’autres termes, ils semblent avancer que ce qui est transféré est l’IgG elle-même dans les gouttelettes de salive. Ils ont peut-être raison. Cela dit, il est possible que les enfants DÉVELOPPENT des IgG intranasales parce que d’autres sous-produits du vaccin ou exosomes sont excrétés. Cela pourrait même être dû aux nanoparticules d’ARNm lipidiques elles-mêmes excrétées et transférées par la salive, comme un virus. En fait, si l’on considère deux [NdT. trois] réponses à cet article que j’ai citées en bas, l’excrétion de nanoparticules lipidiques d’ARNm est la plus probable. Pourquoi? Parce que les personnes interrogées déclarent avoir subi de FORTES RÉACTIONS IMMUNITAIRES. De tels sous-produits seraient la CAUSE d’IgG intranasales chez les enfants dans le cadre d’une réaction immunitaire chez les enfants, au lieu que ces IgG soient en substance crachées mécaniquement par les parents sur leurs enfants. L’article, bien que très intéressant, n’est qu’une première étape dans la recherche sur l’excrétion des vaccins et j’espère que la lumière sera faite sur ce phénomène! Les auteurs, probablement pour tenter de faire approuver leur article par les censeurs de la science, disent que c’est une bonne chose Nos résultats suggèrent que la transmission d’anticorps par aérosol peut également contribuer à la protection de l’hôte et représente un mécanisme entièrement méconnu par lequel la protection immunitaire passive peut être communiquée. La question de savoir si le transfert d’anticorps sert de médiateur à la protection de l’hôte sera fonction de l’exposition, mais il semble raisonnable de suggérer, toutes choses égales par ailleurs, que toute quantité de transfert d’anticorps s’avérerait utile à l’hôte récepteur. Personnellement, je doute que l’on puisse appeler cela une bonne chose. Des anticorps ou des nanoparticules d’ARNm provenant de vaccins NON approuvés par la FDA pour les enfants sont transférés des parents aux enfants, sans le consentement ou la connaissance des parents ou des enfants. Tout cela est suivi de démentis par les autorités. Pensez-vous que ce soit une bonne chose? Merci de partager massivement cet article! Quelques commentaires étonnants ajoutés ici Je crois que cette excrétion a été la cause de la perte de mon bébé à 22 semaines de gestation. Le dimanche, j’ai serré dans mes bras quelqu’un qui venait de recevoir sa deuxième injection la veille. Le mardi, j’ai remarqué que mon bébé ne bougeait plus. Mercredi, il a été confirmé que son cœur s’était arrêté. Le docteur a regardé l’échographie et a dit que cela ressemblait à une défaillance massive des organes. Ma santé n’a plus été la même une très grande tragédie pour laquelle beaucoup d’entre nous ne recevront jamais de réponses définitives. Dieu est miséricordieux, mais la bataille est très dure. Ma fille et moi avons connu des irrégularités menstruelles dans les 48 heures suivant la première vaccination de mon père âgé. Nous prenions soin de lui et ma sœur a insisté pour qu’il soit vacciné. Il a développé une légère affection sinusale par la suite, alors que nous avions de graves problèmes. Quelque temps plus tard, il a été placé dans une institution en raison de sa démence sénile et l’automne dernier il a reçu un premier booster et il a eu une crise cardiaque la semaine suivante. La semaine dernière, il a reçu un autre booster et cette semaine il a eu une autre crise cardiaque. L’ignorance et la stupidité des membres de ma propre famille et du personnel médical de l’établissement sont stupéfiantes. Je suis préoccupée par les effets de l’excrétion du vaccin, car il a directement affecté nos hormones et nos utérus. La nuit qui a suivi la deuxième injection de mon partenaire je sais, je sais… j’étais contre, mais il ne voulait pas écouter, je dormais à côté de lui et je me suis réveillée à 3 heures du matin avec une sensation de froid GLACIAL. C’était en juin, il faisait une chaleur d’enfer et mon corps grelottait tellement que j’ai dû ramper jusqu’à la salle de bain et me mettre sous la douche pour essayer de me réchauffer ». J’avais déjà eu des frissons de ce genre lorsque j’étais malade, mais là , c’était d’un autre niveau. La crise de frissons a duré 5 minutes et a été la réaction immunitaire la plus intense et la plus bizarre que j’aie jamais connue. J’étais enceinte de quelques semaines à l’époque et j’ai commencé à saigner deux jours plus tard. Heureusement, je n’ai pas fait de fausse couche et j’ai évité de me faire vacciner et je suis restée en bonne santé, mais c’était vraiment bizarre. Je sais que c’est anecdotique, mais depuis, je suis convaincue que l’excrétion est un phénomène réel – c’est intéressant de le voir enfin confirmé!C’est une histoire effrayante, heureux que vous vous en soyez sortie saine et sauve !!! Mais c’est une bonne contribution à l’article, merci de l’avoir partagé. Addendum traduction de commentaires à cet article Debra Robinson lien Les pédiatres connaissent depuis longtemps les panneaux affichés sur leurs portes concernant l’excrétion, qui demandent aux parents de ne pas entrer dans le cabinet avec leurs enfants récemment vaccinés afin de protéger les enfants immunodéprimés présents dans le cabinet. C’est un historique qui s’applique évidemment ici. Personnellement, j’ai prodigué un massage à un patient qui venait de recevoir son deuxième Moderna et, en l’espace de trois heures, mes yeux ont fait une hémorragie interne et je suis devenue aveugle pendant six semaines. Tout le globe oculaire est devenu brun foncé. J’ai récupéré 80% de ma vision au fil du temps. Aucun médecin n’a voulu envisager cette possibilité, mais c’était indéniable. Ensuite, j’ai développé tous les symptômes d’une insuffisance cardiaque. Je suis maintenant de retour à la normale après 8 mois. En rétrospective, beaucoup de mes patients avaient des réactions indésirables TVP [thrombose veineuse profonde], crampes, inflammation extrême des articulations, herpès, zona, etc. Beaucoup d’entre eux souffraient désespérément, mais tous leurs médecins ont ignoré leurs plaintes. Peter Smith lien J’ai déjà lu des articles sur ce » grelottement . Puis, un jour, j’ai rencontré un type un peu désemparé, qui venait d’avoir un petit accident de vélo dont il était responsable. Je l’ai aidé à se relever et j’ai engagé la conversation pour voir s’il n’y avait pas un autre problème. Finalement, le Covid, les injections Covid, etc. sont entrés dans la conversation. L’homme avait reçu des injections pour conserver son emploi dans le secteur du transport aérien, et il m’a confié que depuis les injections, il tremblait constamment et ne trouvait aucun moyen de l’arrêter. Je ne suis pas sûr du mécanisme physiologique à l’origine de ce phénomène, mais c’est ainsi. J’écris de Vancouver, au Canada, anciennement un pays libre. Ken lien Les 1% ont des moyens qu’ils ne partagent pas avec nous. Ce qui me rappelle, je me souviens avoir vu quelque part que le Docteur privé de Gates a dit qu’il n’a jamais fait vacciner ses enfants pour RIEN… Tous les vaccins sont suspects maintenant à cause du Covid, mais même avant le Covid… Comme beaucoup d’entre vous, je connais beaucoup de personnes blessées ou tuées par les vaccins Une infirmière de 30 ans à Stanford, morte un mois après la 2ème dose, 2021. Mon agent immobilier, AVC après la 2ème dose, 2021. Un SDF que j’ai rencontré récemment, AVC après la 2ème dose. Ma compagne a des règles pires que jamais, et se sent plus malade lorsqu’elle fréquente sa colocataire vaxxée »/ »boostée » facilitation de l’infection par anticorps/SIDAV, particulièrement aux moment et après les injections. J’ai moi-même maintenant des éruptions corporelles occasionnelles du type de celles observées initialement chez les bébés injectés. J’ai parlé avec une femme qui a été vaccinée/boostée pendant sa grossesse, et son enfant a commencé à marcher à 2-3 mois. Et il a toute sa chevelure. Elle sait que c’est le vax » et me l’a dit sans que je lui demande, parce que ses deux enfants précédents n’étaient pas du tout comme ça. J’imagine que beaucoup d’entre vous ont déjà vu les vidéos de bébés anormalement avancés, malades ou aux yeux noirs… et entendu plus d’histoires de fausses couches que ce qui suffirait à faire passer une bonne journée à Gates. Michele lien Je corrobore votre témoignage. J’ai reçu la visite d’un ami vacciné et mes règles ont été perturbées pendant deux mois. De plus, je ne sais pas si c’est dû à l’excrétion ou à Omicron que je pense avoir eu début janvier 2022; je ne fais pas de test mais j’ai les doigts violets/blancs de Reynaud maintenant, tous les après-midi, peu importe ce que je fais assise, debout, active, bien que l’activité soit préférable. C’est le bordel, et je trouve ça un peu fort de voir à quel point il est commode pour les aveugles de rejeter les symptômes sur le stress ». Je suis en super bonne santé et j’ai quand même eu le rona deux fois. Totalement bénin, mais totalement différent d’une grippe normale ». Je sentais que quoi que ce fût, c’était de la bio-ingénierie. Alexandria_cmg lien Je vous remercie pour cet article et les autres excellents articles que vous avez écrits sur Substack. Je voudrais simplement soumettre à votre réflexion un truc » dingue , compte tenu de ces preuves. Est-il seulement concevable, même de manière lointaine, que les horribles et mystérieux cas d’hépatite pédiatrique observés dans le monde entier puissent être liés à l’excrétion des vaccins? Notez qu’une ou deux études récentes ont discuté de l’effet des vaccins sur le foie. Cette épidémie semble inexplicable et les seuls facteurs au niveau mondial qui coïncident pourraient être le Covid-19 lui-même et les vaccinations massives de Covid-19. Merci. Margaret Anna Alice lien Oups. C’est ce que je soupçonnais d’après mes recherches préliminaires, mais il est bon d’avoir des preuves scientifiques corroborantes. Savez-vous combien de temps après la dernière injection ces tests ont été effectués? Ceux qui soupçonnaient une excrétion pensaient souvent qu’elle ne se produisait que pendant les deux premières semaines suivant la vaccination, mais des études récentes montrant que la protéine spike est toujours présente dans les centres germinatifs des ganglions lymphatiques pendant au moins 60 jours suggèrent que l’excrétion peut se produire indéfiniment, ce qui ferait des personnes injectées une véritable menace à long terme pour les personnes non injectées. zuFpM5*M lien Je pense que l’auteur du Substack A Midwestern Doctor » a raison de dire que les injections d’anthrax étaient un test pour quelque chose comme les vaccins covid. Dans le livre Vaccine A, l’auteur explique très minutieusement comment les militaires ont systématiquement écarté les vaccins entiers, plus difficiles à fabriquer mais plus efficaces, au profit de vaccins à base de sous-unités protéiques contre l’anthrax. Cela vous semble familier? Puis, lorsque les sous-unités n’ont pas réussi à produire une réponse immunitaire suffisante, ils ont ajouté des lipides comme le squalène. Cela vous semble familier? Ensuite, s’ils dosaient trop les lipides, ceux-ci provoquaient d’horribles troubles auto-immuns très agressifs. Mais ce n’était pas grave, car ils ont menti au sujet des tests de tolérance aux doses sur les membres du service et ont couvert le tout par une série de mensonges invraisemblables. Cela vous semble familier? Maintenant, pour la première fois en 2020 ou 2021, je pense, un adjuvant à base de squalène a été approuvé dans un vaccin contre la grippe par la même société qui a fabriqué l’adjuvant à base de squalène que les médecins militaires testaient sur les militaires! Il s’agit du MF59. Il n’est autorisé aux États-Unis que pour les plus de 65 ans. Je suppose qu’ils pensent que les décès ou les maladies auto-immunes n’auront pas cours dans ce groupe d’âge. Pearl lien Je suis allée voir une hygiéniste dentaire il y a un an – elle venait de recevoir sa deuxième injection. Elle a travaillé sur mes dents, puis a fait des radios, un polissage, etc. Le lendemain matin, je me suis réveillée avec des caillots de sang qui sortaient de mon nez. Je n’ai jamais rien eu de tel. C’est arrivé une seule fois, mais je l’ai su tout de suite. J’hésite encore à retourner chez l’hygiéniste – je me demande comment trouver une hygiéniste non vaccinée, mais au Canada, ce n’est peut-être même pas possible. Peter Smith lien Je suis également originaire du Canada. Ma femme a vécu exactement la même chose. Le lendemain d’une visite chez le dentiste et des soins prodigués par une hygiéniste, elle a eu un important saignement de nez. Nous sommes en couple depuis 1996… jamais un saignement de nez auparavant! David Watson lien Ce qui veut dire que même ceux d’entre nous qui se considèrent comme non-vaccinés, ne le sont probablement pas. Alors peu importe si c’est une bonne chose ou non, c’est comme ça. La question suivante est à quelle vitesse notre corps élimine-t-il ces envahisseurs? Probablement en fonction de la force immunitaire. Ou, est-ce que les résidus de vaccins sont aussi endémiques? Fast Eddy lien Étant donné qu’il s’agit d’un processus d’extinction… ma seule préoccupation est de ne pas subir une blessure causée par le vaccin qui me ferait souffrir pendant les mois qu’il nous reste à vivre… J’espère que cette excrétion n’est pas assez importante pour causer une blessure ou la mort. Si cela signifie simplement que je contribue à la création de l’inévitable Diable Covid… cela ne me dérange pas le moins du monde. Je veux juste m’assurer que je serai en bonne santé quand le Dernier Acte se déroulera. Ce sera de loin le plus grand moment de l’histoire de notre espèce… Je ne le manquerais pour rien au monde. Aqua 60 lien Je pense que l’excrétion est la raison pour laquelle ils étaient si inflexibles sur le fait d’atteindre un pourcentage spécifique de la population. Si la grande majorité est vaccinée, les non-vaccinés seront affectés à un taux plus élevé. J’ai tendance à douter qu’ils aient atteint leur but, vu les mandats anticonstitutionnels. Wolly lien Je suis perpétuellement malade depuis deux mois et je côtoie les vaccinés tout le temps. Je le savais, bon sang. Mark lien J’ai travaillé aux côtés de personnes vaccinées et chaque fois qu’elles se faisaient vacciner, j’avais des symptômes. J’ai développé des douleurs arthritiques dans les mains, un zona et des symptômes semblables à ceux du SFC [syndrome de fatigue chronique], le tout en l’espace de deux semaines. Avant cela, j’étais en excellente santé et en pleine forme, j’occupais un emploi physiquement exigeant et mon taux de graisse corporelle était d’environ 10-12%. J’ai dû quitter ce travail en raison de mes douleurs arthritiques, qui s’aggravaient rapidement. Cela fait plus de six mois et je ne suis toujours pas revenu à mon état antérieur. Wallrat lien Ma fiancée a des menstruations semblables à des fausses couches peu après une exposition prolongée à des personnes vaccinées. Cela semble prendre environ 2 à 3 heures de contact avec la personne et la gravité change en fonction de la date à laquelle cette personne a été vaccinée. 4-5 heures plus tard, elle commence à saigner et cela dure plusieurs jours. Ça a commencé lorsque toutes ses amies d’école ont été vaccinées et elle a eu ses règles pendant 5 mois avant que nous entendions parler d’excrétion. Elle a arrêté d’étudier avec ses amies et cela s’est terminé quelques jours plus tard. Fait intéressant, j’ai remarqué que j’avais des maux de tête au même moment si j’étais avec elle lorsqu’elle était exposée. J’avais remarqué une augmentation de la fréquence de mes maux de tête, mais je n’y avais pas prêté attention. Je n’aurais jamais fait le lien si elle n’avait pas eu une réaction plus radicale. … et encore des dizaines d’autres. Texte original Vaccine Shedding Finally Proven! Statistically Significant Vaccine Shedding from Parents to Children Igor Chudov May 3 Do vaccinated people shed their vaccine byproducts to us? We definitely, for sure, knew that vaccine shedding was not a thing, because “health experts and fact checkers” told us so. And we “believe science” and our “health experts”. Right? Except that it is WRONG and vaccine shedding has just been proven by science! Even I believed that there was no plausible mechanism for vaccine shedding. I thought that it was a baseless conspiracy theory. Stupid me. It turned out that I WAS WRONG and vaccine shedding is real and can be measured. A study “Evidence for Aerosol Transfer of SARS-CoV2-specific Humoral Immunity” was just released. Evaluation of samples in this fashion revealed that high intranasal IgG in vaccinated parents was significantly associated p-value = with a increase in the log transformed intranasal IgG gMFIs within a child from the same household Fig 1F. Let me try to explain it. First, these scientists from the University of Colorado looked at face masks, worn by vaccinated health care workers. They found that those workers shed antibodies generated by vaccination, and some antibodies got trapped in the masks and could be detected. This means that vaccinated people are literally “shedding” vaccine-caused antibodies. Interested in that, scientists looked further they compared unvaccinated children living with unvaccinated parents, to similarly unvaccinated children, but living with vaccinated parents. It turned out that vaxxed parents actively shed vaccine-produced particles onto their children so that the kids acquired “humoral immunity” following shedding from their parents! Not only was this finding evident in the data, it actually was STRONGLY statistically significant with p-value of This means that this was not a chance finding. It remains to be explained WHY children have intranasal IgG. The authors seem to think that it is because of antibody shedding via droplets. In other words, they seem to propose that what is transferred is IgG itself in saliva droplets. They may be right. That said, there is a possibility that children DEVELOP intranasal IgG because other vaccine byproducts or exosomes are being shed. It could even be due to lipid mRNA nanoparticles themselves shed and being transferred via saliva, like a virus. In fact, considering two replies to this article that I quoted at the bottom, mRNA lipid nanoparticle shedding is most likely. Why? Because the responders report experiencing STRONG IMMUNE REACTIONS. Such byproducts would be CAUSING intranasal IgG in children as an immune reaction in children, rather than those IgGs being essentially mechanically spat from parents onto their children. The article, while very interesting, is only the first step in researching vaccine shedding and I hope that further light will be shed pun intended on this phenomenon! The authors, possibly in hopes of getting their article approved by science censors, call it a good thing Our results suggest that aerosol transmission of antibodies may also contribute to host protection and represent an entirely unrecognized mechanism by which passive immune protection may be communicated. Whether antibody transfer mediates host protection will be a function of exposure, but it seems reasonable to suggest, all things being equal, that any amount of antibody transfer would prove useful to the recipient host. I am not sure if I can call it a good thing myself. Antibodies or mRNA nanoparticles from vaccines NOT approved by the FDA for children are being shed from parents to children, without consent or knowledge of either parents, or children. All of this is followed by denials by authorities. Do you think that it is a good thing? Please share this article widely! Some amazing comments added here
Représentation artistique du coronavirus SARS-CoV-2 © Fusion Medical Animation on Unsplash Des chercheurs allemands ont mené une analyse virologique détaillée auprès de neuf patients atteints de Covid-19 afin d’évaluer la réplication du SARS-CoV-2, la persistance et l’excrétion du virus, ainsi que la réponse du système immunitaire en anticorps. Autant de données particulièrement attendues par la communauté scientifique pour mieux comprendre la dynamique temporelle de ce nouveau virus et sa contagiosité. Les patients inclus dans cette étude parue en ligne le 1er avril dans la revue Nature faisaient partie d’un cluster agrégat de cas découvert à Munich le 27 janvier dernier, autrement dit de sujets contacts, tous contaminés à partir d’un cas index. Tous les participants ont été traités dans le même hôpital, à Munich. Les tests de détection du génome du virus par la technique RT-PCR ont été effectués par deux laboratoires collaborant étroitement, la plupart des résultats obtenus par un laboratoire étant confirmés par l’autre. L’évaluation virologique détaillée a consisté à analyser des prélèvements recueillis au tout début de l’évolution clinique de ces patients Covid-19 hospitalisés, de même que sur des échantillons biologiques prélevés avant leur admission à l’hôpital. Tous ces patients ont eu un test PCR positif pour le SARS-CoV-2 à partir de prélèvements de gorge ou nasopharyngés. L’équipe conduite par Christian Drosten hôpital universitaire de la Charité, Berlin et Clemens Wendtner Klinikum München-Schwabing, Munich ont tout d’abord montré que ces patients n’avaient pas de co-infection absence d’autres coronavirus humains, de virus grippaux, de rhinovirus, entérovirus, virus respiratoire syncytial, parainfluenza, metapneumovirus, adenovirus, bocavirus. Écouvillons stériles pour prélèvements destinés à la recherche du coronavirus SARS-CoV-2 © Wikipedia Réplication virale active dans les voies respiratoires supérieures Les premiers écouvillonnages revenus positifs l’ont été le lendemain des premiers symptômes qui étaient légers ou annonciateurs de la maladie. Tous les tests diagnostiques ont été positifs entre J1 et J5. Il s’agit d’une différence notable avec ce que l’on observe dans le SRAS syndrome de détresse respiratoire aiguë lors duquel le pic de la charge virale est observé entre J7 et J10. Cette étude montre donc que la charge virale dans la maladie Covid-19 peut atteindre un pic avant J5 et qu’elle est plus de 1000 fois plus importante. Après J5, la charge virale dans les écouvillonnages a diminué, avec un taux de détection d’environ 40 %. La charge virale a été détectable dans les prélèvements de gorge pendant deux semaines, jusqu’à J28. Par ailleurs, la charge virale dans les crachats induits diminue plus lentement que dans les prélèvements de gorge. Ces résultats soulignent l’importance des gestes barrières visant à limiter la diffusion du virus par les gouttelettes. Au vu des résultats obtenus, les chercheurs allemands considèrent qu’ une sortie précoce de l’hôpital avec isolement au domicile du patient pourrait être adoptée pour les patients ayant moins de 100 000 copies d’ARN viral par millilitre de crachats après le dixième jour des symptômes. Ces deux critères prédisent un faible risque d’infectiosité sur la base de la culture cellulaire ». Cultures virales négatives sur les prélèvements après J8 Alors que le virus vivant a été facilement isolé à partir d’échantillons provenant de la gorge et des poumons au cours de la première semaine après le début des symptômes, il n’a plus été détecté dans les cultures de ces échantillons au-delà de J8. Ces résultats diffèrent de ceux obtenus chez des patients atteints de SRAS chez lesquels on ne parvient le plus souvent pas à isoler le coronavirus SARS-CoV. Tout indique donc, dans la maladie Covid-19, la présence d’une réplication active du virus dans les voies respiratoires supérieures. En revanche, le coronavirus n’a pas été isolé dans les échantillons de selles réalisés entre J6 et J12 chez quatre patients. Il se peut que l’échec de l’isolement du virus dans les selles tienne au fait que les patients étaient atteints d’une forme modérée de Covid-19 et qu’un seul patient a présenté une diarrhée intermittente. Par ailleurs, il importe de déterminer si le SARS-CoV-2 peut éventuellement perdre son pouvoir infectieux dans l’environnement intestinal. Les chercheurs indiquent ne pas avoir détecté l’ARN du SARS-CoV-2 dans les échantillons d’urine de même que dans aucun échantillon de sérum. Les biologistes moléculaires ont recherché la présence de petits fragments d’ARN viral ARN sub-génomique témoignant de l’existence d’un cycle de reproduction active du virus dans les cellules infectées. Leurs données montrent effectivement que le SARS-CoV-2 se réplique activement dans la gorge pendant les cinq premiers jours après le début des symptômes. De tels résultats n’ont pas été obtenus à partir des échantillons de selles. Populations virales distinctes dans la gorge et les crachats Par ailleurs, le séquençage du génome complet du virus indique la présence de différents génotypes variants légèrement différents au niveau génétique* dans les prélèvements de gorge et les crachats. Un résultat qui amène à penser qu’il existe une réplication virale indépendante dans la gorge et les poumons. Alors que dans la plupart des cas, les symptômes se sont atténués au bout de la fin de la première semaine, l’ARN viral est resté détectable dans les prélèvements de gorge pendant la deuxième semaine. De même, les échantillons de selles et des crachats sont restés positifs pour l’ARN viral pendant plus de trois semaines chez 6 des 9 patients et ce, malgré une résolution complète des symptômes. Ce taux élevé tranche avec ce que l’on observe lors de l’infection par le coronavirus du MERS syndrome respiratoire du Moyen-Orient au cours de laquelle on trouve moins souvent l’ARN viral. Les auteurs font également remarquer que 4 des 9 patients ont présenté une anosmie perte d’odorat et une agueusie perte du goût. Kit de diagnostic PCR pour le SARS-CoV-2 © Wikipedia La moitié des patients ont des anticorps à J7 La détection des anticorps encore appelée séroconversion a eu lieu à J7 chez 50% des patients. Une semaine plus tard, à J14, les neuf patients avaient développé des anticorps anti-SARS-CoV-2. Tous avaient des anticorps neutralisants, autrement dit capables de neutraliser l’action du virus lorsque celui-ci est mis au contact de cellules cibles en laboratoire. La quantité d’anticorps présente dans le sérum des patients ce que les immunologistes appellent le titre en anticorps ne semblait pas dépendre de l’évolution clinique. Il importe de noter que cette étude n’a pas inclus de patients atteints d’une forme sévère de Covid-19. Des travaux supplémentaires sont donc nécessaires pour évaluer la valeur pronostique qu’aurait une augmentation de la charge virale au-delà de la première semaine. Chacun des 9 patients inclus dans l’étude, cinétique de la charge virale crachats en violet, prélèvements de gorge en jaune, selles en gris, moment de la séroconversion apparition des anticorps plasmatiques. Signes cliniques fièvre, toux/gêne respiratoire dyspnée. Dans chaque graphique, la ligne en pointillés représente la limite de quantification de la technique PCR. Dès que la valeur se situe en dessous de ce seuil, le résultat du test PCR est négatif. En effet, les tests ne sont pas assez précis pour un faible nombre de copies d’ARN viral. Certaines courbes à une phase avancée se situent tout près de la valeur seuil et alternent dans un sens ou dans l’autre, ce qui peut conduire à une interprétation erronée de nouvelle infection réinfection. L’évolution de la charge virale montre qu’il n’y a pas d’élimination abrupte du virus au moment de l’apparition des anticorps séroconversion. La séroconversion en début de deuxième semaine s’accompagne plutôt d’un déclin lent mais régulier de la charge virale dans les crachats. Les graphiques montrent que les résultats du test PCR de détection du génome viral oscillent entre résultats positifs et négatifs dans les derniers jours d’observation de l’étude. Cela correspond-il à une réactivation du virus, celui-ci réapparaissant après être resté caché dans un réservoir cellulaire ? Cette hypothèse est spéculative en l’absence de données permettant de l’étayer, même si l’on connaît des cas de réactivation virale avec guérison résurgence de la varicelle, de maladie à virus Ebola. La possibilité d’une réactivation a été soulevée après que des responsables sud-coréens aient indiqué que 116 patients, considérés comme guéris du Covid-19, et dont on pensait qu’ils s’étaient débarrassés du virus, ont été testés positifs par PCR quelques jours plus tard. Des études épidémiologiques et cliniques sont en cours afin d’étudier ce phénomène rapporté les 11 et 13 avril par le directeur des Centres de contrôle et de prévention des maladies de la Corée du sud KCDC, selon l’agence de presse Reuters. Pourrait-il s’agir d’une réinfection ? Là encore, l’hypothèse apparaît fragile car elle supposerait une absence d’immunité post-infectieuse, autrement dit que l’individu guéri n’ait pas développé de réponse protectrice par anticorps, même transitoire. Très difficile à concevoir. Dernière hypothèse qu’un résultat PCR à nouveau positif après guérison ne témoigne d’un manque de sensibilité du test lorsque la charge virale avoisine la limite de détection de la technique. D’où la nécessité d’avoir recours lors du suivi de ces patients à des méthodes de détection à la fois très sensibles capables de détecter une charge virale très faible et spécifiques ne donnant pas de faux-positifs en cas de co-infection par un autre coronavirus humain tel que NL63, 229E OC43, HKU1. Une étude chinoise, publiée le 30 mars sur MedRiv, a également rapporté avoir observé la réapparition d’une positivité au test PCR après la sortie d’hôpital de patients guéris. Ce phénomène semble concerner des patients jeunes moins de 14 ans ayant présenté une forme légère à modérée de Covid-19. Parmi ces patients avec test PCR à nouveau positif, aucun n’avait développé de forme sévère. Surtout, aucun de ces jeunes patients avec PCR à nouveau détectable n’a par la suite développé des symptômes cliniques ou de progression de la maladie après une nouvelle hospitalisation, soulignent les médecins et chercheurs du Shenzhen Third People’s Hospital. Joseph Eddins © Edwards Air Force Base 100 % des patients ont développé des anticorps un mois plus tard On ne dispose à ce jour que de très peu d’études sur la cinétique de la réponse en anticorps sanguins anti-SARS-CoV-2 chez des patients Covid-19. Publiée le 28 mars dans la revue Clinical Infectious Diseases, une étude chinoise sur 173 patients hospitalisés rapporte des données sérologiques intéressantes. Le pourcentage de patients ayant développé des anticorps atteint 50 % à J11. La moitié des patients ont respectivement développé des anticorps IgM témoins d’une infection récente à J12 et des anticorps IgG immunologulines produites par le système immunitaire après les IgM à J14. Un mois J39 après le début des symptômes, 100 % des patients avaient des anticorps contre le SARS-CoV-2. Comme l’étude allemande parue dans Nature, l’étude chinoise rapporte que l’augmentation du taux des anticorps ne s’accompagne pas toujours de la disparition de l’ARN viral. Il est donc possible que la réponse en anticorps ne suffise pas à elle seule à éliminer le virus, estiment les auteurs. Ne disposant pas d’échantillons de sérum recueillis à une phase plus tardive de la maladie, les chercheurs chinois ignorent combien de temps les anticorps persistent dans l’organisme de patients infectés. Les auteurs indiquent cependant pour la première fois avoir observé une forte corrélation positive entre la sévérité de la maladie et la quantité d’anticorps à partir de la deuxième semaine. Selon eux, ces résultats montrent que le taux total d’anticorps peut être considéré comme un facteur de risque de gravité et ce, indépendamment de l’âge, du sexe masculin et de la présence de comorbidités. Le niveau d’anticorps anti-SARS-CoV-2 au cours de la phase aiguë de la maladie pourrait donc renseigner sur la sévérité de la maladie. Manque de recul sur un nouveau virus émergent Dans la mesure où le SARS-CoV-2 a émergé il y a seulement trois mois, les chercheurs n’ont pas encore assez de recul pour apprécier la réponse immunitaire des patients infectés. Il semble cependant que ceux ayant présenté une forme sévère développent, deux ou trois semaines après l’infection, une immunité qui semble protectrice et pérenne. Il conviendrait cependant de suivre pendant des mois ces patients pour s’assurer de la persistance des anticorps. Il semblerait que des formes mineures ou bénignes de la maladie, notamment uniquement associées à des signes ORL, ne s’accompagnent pas d’une immunité après guérison. Cela pourrait expliquer que ces personnes puissent éventuellement être infectées à deux reprises. Là encore, il ne s’agit que d’une hypothèse non confirmée par la littérature médicale à ce jour. fernandozhiminaicela © Pixabay 30 % des patients développeraient de faibles taux d’anticorps neutralisants Une étude chinoise a été conduite auprès de 175 patients guéris après avoir développé une forme modérée de la maladie Covid-19. Aucun n’avait été admis en unité de soins intensifs. Le 26 février dernier, des échantillons de plasma sanguin ont été recueillis à la sortie de ces patients du Shanghai Public Health Clinical Center, afin de mesurer la quantité des anticorps neutralisants contre le SARS-CoV-2. Ces anticorps spécifiques, capables de bloquer l’infection virale, jouent un rôle majeur dans la disparition du virus dans l’organisme et sont considérés comme une composante clé de la protection ultérieure vis-à -vis de l’infection virale. Cette étude préliminaire, publiée le 6 avril sur le site de prépublication MedRxiv, est la première à évaluer les taux d’anticorps neutralisants dans le plasma de patients Covid-19 guéris. Les chercheurs de l’université Fudan de Shanghai ont observé que le jour de leur sortie d’hôpital, ce qui correspondait à une période comprise entre J10 à J15 après le début de la maladie, ces patients Covid-19 avaient développé des anticorps neutralisants spécifiquement dirigés contre SARS-CoV-2. Cependant, environ 30 % des patients guéris ont développé de très faibles titres en anticorps neutralisants, autrement dit une quantité insuffisante d’anticorps protecteurs, se situant chez 10 patients en-deçà de la limite de détection. En outre, 17 % et 39 % des patients avaient un titre d’anticorps modérément faibles et modérément élevés. Enfin, seulement 14 % des patients guéris de cette cohorte avaient une quantité élevée d’anticorps neutralisants. La durée de la maladie était similaire chez les patients ayant développé de faibles titres d’anticorps neutralisants et les autres. Chez ces patients guéris sans avoir produit un taux élevé d’anticorps neutralisants, d’autres mécanismes immunitaires ont pu contribuer à la guérison, notamment la production de globules blancs spécifiquement dirigés contre le virus lymphocytes T ou des substances produites par le système immunitaire cytokines. Surtout, on ignore si ces patients guéris mais porteurs de faibles titres d’anticorps neutralisants sont à risque élevé de rebond de l’infection virale ou de réinfection. Les chercheurs ont par ailleurs mesuré les taux d’anticorps neutralisants dans le plasma de 47 patients lors d’un suivi de deux semaines après leur sortie d’hôpital. Il s’avère que le titre des anticorps neutralisants collectés dans ces échantillons sanguins ne variaient pas significativement par rapport à ceux mesurés au moment de la sortie de l’hôpital. Ainsi, les patients qui n’avaient pas développé d’anticorps neutralisants lorsqu’ils ont quitté l’hôpital n’en ont pas produits par la suite. Ces résultats ont révélé qu’une proportion de patients infectés par le SARS-CoV-2 guérissent sans développer de titres élevés d’anticorps neutralisants spécifiques du virus », soulignent les chercheurs chinois. Et d’ajouter qu’il conviendrait d’étudier plus avant comment ces patients se sont rétablis sans l’aide d’anticorps neutralisants et s’ils risquent d’être réinfectés par le SARS-CoV-2 ». Une question d’autant plus importante qu’on envisage d’utiliser comme traitement le plasma de patients convalescents. Les chercheurs ont observé que les patients âgés 40-59 ans et 60-85 ans ont significativement plus tendance que les patients jeunes 15-39 ans à développer des taux élevés d’anticorps neutralisants. Il semble donc que l’âge soit un facteur important pour la production de ces anticorps protecteurs. Ces résultats semblent donc indiquer que chez les patients âgés ou moyennement âgés un taux élevé d’anticorps neutralisants soit utile pour se débarrasser du virus et assurer la guérison. Les auteurs font remarquer avoir observé une corrélation négative entre les titres en anticorps neutralisants et les taux de lymphocytes dans le sang. Ainsi, les patients plus âgés et moyennement âgés avaient cette variété de globules blancs en moindre grande quantité que les patients plus jeunes. Ces résultats semblent donc montrer que la réponse en anticorps pourrait jouer un rôle important lorsque la réponse immunitaire cellulaire est compromise ou altérée. Coronavirus SARS-CoV-2. National Institute of Allergy and Infectious Diseases NIAID © Flickr Le virus serait excrété 2 à 3 jours avant les premiers symptômes Un dernier éclairage sur la dynamique temporelle du virus chez des patients infectés est fourni par une étude de chercheurs chinois de l’université de Guangzhou parue le 15 avril dans la revue Nature Medicine. Ces chercheurs ont comparé les données d’excrétion du virus évaluée par la mesure de la charge virale dans les prélèvements de gorge au début des symptômes avec les résultats d’enquêtes épidémiologiques ayant mesuré deux paramètres essentiels, en l’occurrence la durée de la période d’incubation le temps qui sépare l’infection du début des symptômes et l’intervalle sériel temps qui s’écoule avant l’apparition des symptômes chez des cas qui se suivent dans une chaîne de transmission. Leur étude a reposé sur la mesure de la charge virale du début des symptômes jusqu’à J32 chez 94 patients hospitalisés pour une forme modérée de Covid-19 au Guangzhou Eighth People’s Hospital. Par ailleurs, les chercheurs ont modélisé le profil infectieux du virus à partir de données détaillées provenant de 77 paires de patients patient infectant/patient infecté identifiés lors de chaînes de transmission observées en Chine et en dehors de Chine. L’analyse montre que l’infectiosité du virus est maximale au moment ou avant le début des symptômes. Plus précisément, l’infectiosité débute en moyenne 2,3 jours précédant l’apparition des premiers symptômes et connaît un pic environ 0,7 jour avant. Surtout, les chercheurs estiment que la proportion de la transmission du virus au stade symptomatique est de 44 %**. L’infectiosité décroît ensuite au cours des 7 jours qui suivent. Un résultat qui rejoint celui obtenu dans l’étude allemande parue dans Nature Medicine qui a montré que le virus ne pouvait plus être cultivé à partir des prélèvements de gorge au-delà de J8. Reprenant leur analyse en tenant compte d’un taux d’infectiosité qui serait constant dans les jours précédant le début des symptômes, l’infectiosité était toujours maximale entre 0 et 2 jours avant l’apparition des symptômes. Quant à la proportion de la transmission à partir de patients asymptomatiques, elle se situait à un niveau encore plus élevé, compris entre 46 % et 55 %. Un niveau qui correspond à ce qui a été estimé par de précédentes études épidémiologiques à Singapour et à Tianjin nord-est de la Chine. Si la proportion notable de transmission du SARS-CoV-2 au stade où les patients ne présentent pas encore de symptômes devait être confirmée, l’importance des mesures barrières hygiène personnelle reposant d’abord sur le lavage des mains régulier et sur la distanciation sociale s’en trouveraient encore plus renforcées. En effet, selon les chercheurs, si l’on considère qu’un individu infecté en contamine en moyenne 2,5 autres, le traçage des sujets contacts et l’isolement des malades aurait moins de chance d’être efficaces si la transmission du virus survenait dans 30 % des cas à la phase asymptomatique, sauf à la condition que plus de 90 % des contacts puissent être identifiés. Où l’on voit que le traçage des seules personnes présentant des symptômes pourrait ne pas avoir l’efficacité escomptée. Et les auteurs de conclure que des critères plus inclusifs dans le traçage numérique permettant de capter de potentiels événements de transmission 2 à 3 jours avant le début des symptômes devraient être pris en compte de façon urgente pour obtenir un contrôle efficace de l’épidémie ». Marc Gozlan Suivez-moi sur Twitter, sur Facebook * Polymorphisme sur un nucléotide en position 6446 dans le génome viral variation sur la base située à cet endroit de l’ARN viral. ** Intervalle de confiance 95% 25-69%, la vraie » valeur se situant entre ces deux extrêmes. Pour en savoir plus Wölfel R, Corman VM, Guggemos W, Seilmaier M, Zange S, Müller MA, Niemeyer D, Jones TC, Vollmar P, Rothe C, Hoelscher M, Bleicker T, Brünink S, Schneider J, Ehmann R, Zwirglmaier K, Drosten C, Wendtner C. Virological assessment of hospitalized patients with COVID-2019. Nature. 2020 Apr 1. doi Amanat F, Stadlbauer D, Strohmeier S, Nguyen T, Chromikova V, McMahon M, Jiang K, Asthagiri-Arunkumar G, Jurczyszak D, Polanco J, Bermudez-Gonzalez M, Kleiner G, Aydillo T, Miorin L, Fierer D, Amarilis Lugo L, Milunka Kojic E, Stoever E, Liu STH, Cunningham-Rundles C, Felgner PL, Caplivski D, Garcia-Sastre A, Cheng A, Kedzierska K, Vapalahti O, Hepojoki J, -Simon V, Krammer F, Moran T. A serological assay to detect SARS-CoV-2 seroconversion in humans. doi An J, Liao X, Xiao T, Qian S, Yuan J, Ye H, Qi F, Shen C, Liu Y, Wang L, Cheng X, Li N, Cai Q, Wang F, Chen J, Liu Y, Wang Y, Zhang F, Fu Y, Tan X, Liu L, Zhang Z. Clinical characteristics of the recovered COVID-19 patients with re-detectable positive RNA test. MedRxiv. Posted March 30, 2020. doi He X, Lau EHY, Wu P, Deng X, Wang J, Hao X, Lau YC, Wong JY, Guan Y, Tan X, Mo X, Chen Y, Liao B, Chen W, Hu F, Zhang Q, Zhong M, Wu Y, Zhao L, Zhang F, Cowling BJ, Li F, Leung GM. Temporal dynamics in viral shedding and transmissibility of COVID-19. Nat Med. 2020 Apr 15. doi Lou B, Li T, Zheng S, Su Y, Li Z, Liu W, Yu F, Ge S, Zou Q, Yuan Q, Lin S, Hong S, Yao X, Zhang X, Wu D, Zhou G, Hou W, Li T, Zhang Y, Zhang S, Fan J, Zhang J, Xia N, Chen Y. Serology characteristics of SARS-CoV-2 infection since the exposure and post symptoms onset. doi To KK, Tsang OT, Leung WS, Tam AR, Wu TC, Lung DC, Yip CC, Cai JP, Chan JM, Chik TS, Lau DP, Choi CY, Chen LL, Chan WM, Chan KH, Ip JD, Ng AC, Poon RW, Luo CT, Cheng VC, Chan JF, Hung IF, Chen Z, Chen H, Yuen KY. Temporal profiles of viral load in posterior oropharyngeal saliva samples and serum antibody responses during infection by SARS-CoV-2 an observational cohort study. Lancet Infect Dis. 2020 Mar 23. pii S1473-30992030196-1. doi Wu F, Wang A, Liu M, Wang Q, Chen J, Xia S, Ling Y, Zhang Y, Xun J, Lu Lu, Jiang S, Lu H, Wen Y, Huang J. Neutralizing antibody responses to SARS-CoV-2 in a COVID-19 recovered 1 patient cohort and their implications. MedRxiv. Posted April 20, 2020. doi Yuan J, Kou S, Liang Y, Zeng J, Pan Y, Liu L. PCR Assays Turned Positive in 25 Discharged COVID-19 Patients. Clin Infect Dis. 2020 Apr 8. pii ciaa398. doi Zhao J, Yuan Q, Wang H, Liu W, Liao X, Su Y, Wang X, Yuan J, Li T, Li J, Qian S, Hong C, Wang F, Liu Y, Wang Z, He Q, Li Z, He B, Zhang T, Fu Y, Ge S, Liu L, Zhang J, Xia N, Zhang Z. Antibody responses to SARS-CoV-2 in patients of novel coronavirus disease 2019. Clin Infect Dis. 2020 Mar 28. pii ciaa344. doi Zou L, Ruan F, Huang M, Liang L, Huang H, Hong Z, Yu J, Kang M, Song Y, Xia J, Guo Q, Song T, He J, Yen HL, Peiris M, Wu J. SARS-CoV-2 Viral Load in Upper Respiratory Specimens of Infected Patients. N Engl J Med. 2020 Mar 19;382121177-1179. doi
Je comprends rien à "excrétion virale significative" ça veut dire que je suis atteint sévèrement du virus Si un kheyou de poche veut bien m'éclairer ça me stresse pas mais j'aimerai comprendre Y'a rien à comprendre, c'est positif, point. En gros significative signifie que ton dosage est assez concentré en "covid" pour déterminer que tu en es atteint. C'est dans ton ADN d'être con ou tu joues la comédie ? Ça veut dire que tu es gay Le 12 janvier 2022 à 160403 Ça veut dire que tu es gaySił na pas regarde le préleveur dans les yeux ça va. T'es juste positif, cherche pas plus loin Le 12 janvier 2022 à 160343 En gros significative signifie que ton dosage est assez concentré en "covid" pour déterminer que tu en es c'est pas forcément quelque chose de grave ? Je suis positif tout comme un autre lambda peut l'être ? En plus je suis novax 0 dose Le 12 janvier 2022 à 160514 Le 12 janvier 2022 à 160343 En gros significative signifie que ton dosage est assez concentré en "covid" pour déterminer que tu en es c'est pas forcément quelque chose de grave ? Je suis positif tout comme un autre lambda peut l'être ? Oui. Le 12 janvier 2022 à 160315 Y'a rien à comprendre, c'est positif, point. Le 12 janvier 2022 à 160549 En plus je suis novax 0 dose Ca par contre no fake je suis en Medecine le vaccin aide clairement à aller mieux et vite. Le 12 janvier 2022 à 160706 Le 12 janvier 2022 à 160549 En plus je suis novax 0 dose Ca par contre no fake je suis en Medecine le vaccin aide clairement à aller mieux et 19 ans et je fais 85 kg pour 1m87 donc pas obèse je risque pas de développer une forme grave non ? en clair, tu es contaminant Ils différencient ceux qui contaminent de ce ceux qui sont en rémission Le 12 janvier 2022 à 160841 AHIENTENT a écrit Le 12 janvier 2022 à 160706 Le 12 janvier 2022 à 160549 En plus je suis novax 0 dose Ca par contre no fake je suis en Medecine le vaccin aide clairement à aller mieux et 19 ans et je fais 85 kg pour 1m87 donc pas obèse je risque pas de développer une forme grave non ? Tu as une maladie du poumon, du coeur, du foie ou du rein ? Le 12 janvier 2022 à 161003 Le 12 janvier 2022 à 160841 AHIENTENT a écrit Le 12 janvier 2022 à 160706 Le 12 janvier 2022 à 160549 En plus je suis novax 0 dose Ca par contre no fake je suis en Medecine le vaccin aide clairement à aller mieux et 19 ans et je fais 85 kg pour 1m87 donc pas obèse je risque pas de développer une forme grave non ? Tu as une maladie du poumon, du coeur, du foie ou du rein ? euh pas à ma connaissance non Le 12 janvier 2022 à 161025 AHIENTENT a écrit Le 12 janvier 2022 à 161003 Le 12 janvier 2022 à 160841 AHIENTENT a écrit Le 12 janvier 2022 à 160706 Le 12 janvier 2022 à 160549 En plus je suis novax 0 dose Ca par contre no fake je suis en Medecine le vaccin aide clairement à aller mieux et 19 ans et je fais 85 kg pour 1m87 donc pas obèse je risque pas de développer une forme grave non ? Tu as une maladie du poumon, du coeur, du foie ou du rein ? euh pas à ma connaissance non peu de chance que tu finisses en réa alors Le 12 janvier 2022 à 160841 Le 12 janvier 2022 à 160706 Le 12 janvier 2022 à 160549 En plus je suis novax 0 dose Ca par contre no fake je suis en Medecine le vaccin aide clairement à aller mieux et 19 ans et je fais 85 kg pour 1m87 donc pas obèse je risque pas de développer une forme grave non ? Ton IMC est correct. Mais ce n'est pas vraiment à ça qu'on va determiner si tu vas faire une forme grave c'est plus si tu as des pathologies et tes antécédents médicaux + ta forme 95% des cas t’inquiète tu t'en sors bien mais le temps de récupération et la durée des symptômes sont clairement en défaveur des non-vax. Attention je ne suis pas pro ou non vax je dis juste ce que je vois. ne prend pas de vaccin, car tu as le meilleur des vaccins, à savoir le virus lui même. Et contrairement aux vaccins commerciaux, lui sera à jour et efficace Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
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